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Les Produits Qui Aident À Supporter Une Chimio?

Les Produits Qui Aident À Supporter Une Chimio
Sommaire :

  • 10 armes naturelles pour mieux supporter une chimiothérapie.
  • Le desmodium.
  • Le chardon-marie.
  • Les probiotiques.
  • La chlorophylle.
  • Le gingembre.
  • L’échinacée.
  • Le maïtaké

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Comment aider à supporter la chimiothérapie ?

Quelques conseils : –

  • Privilégier des aliments froids ou tièdes qui sont moins odorants que les aliments chauds
  • Prendre plusieurs petits repas répartis tout au long de la journée, ce qui facilite la digestion
  • Eviter de boire pendant les repas pour ne pas remplir l’estomac de liquide
  • Manger lentement et mastiquer bien les aliments
  • Eviter les odeurs qui dérangent (tabac, parfum,…)
  • Eviter les sucreries, les aliments gras ou frits
  • Privilégier une alimentation équilibrée et saine.

Quels aliments eviter pendant une chimio ?

il faut éviter les épices, la vinaigrette, les aliments trop salés ou fumés, les fruits acides et verts, la tomate, les jus d’agrumes, les noix, le gruyère, l’ananas. Si vous ne pouvez pas avaler : Laisser la bouche au repos. une nutrition parentérale totale ou nutrition entérale peut être prescrite par votre médecin.

Comment limiter les effets secondaires de la chimiothérapie ?

Comment préparer son corps à une chimiothérapie ?

5 – J’anticipe l’après chimiothérapie – Notre dernier conseil pour préparer sa séance de chimiothérapie, c’est de penser à l’après ! Mieux vaut y réfléchir à l’avance plutôt que de devoir s’organiser alors que la fatigue commence à se faire ressentir.

  • Assurez-vous d’avoir dès maintenant les médicaments prescrits par votre oncologue, notamment pour vous aider à supporter les effets secondaires;
  • Prévoyez, autant que possible, des activités qui vous font plaisir : dormir ou sortir (en prenant des précautions d’hygiène), voir vos proches ou rester seul;

e… C’est le moment de vous écouter et de penser à vous. Enfin, il est important de se rappeler qu’adhérer à son traitement favorise son succès. Si un doute subsiste sur la nécessité de suivre une chimiothérapie ou sur sa date de début, n’hésitez pas à solliciter un deuxième avis auprès d’un autre service d’oncologie ou via une plateforme en ligne comme deuxiemeavis.

Quel eau boire quand on fait de la chimio ?

Gargarisez-vous à l’ eau salée au moins 4 fois par jour. Mélangez chaque jour une cuillérée à café de sel avec 1 litre d’ eau du robinet pour vos besoins quotidiens.

Comment soulager les douleurs de la chimiothérapie ?

Les médicaments face à la douleur liée au cancer Pour les douleurs neuropathiques, les spécialistes font appel à des antiépileptiques comme la prégabaline (Lyrica®) ou la gabapentine. Parfois, des anxiolytiques ou des antidépresseurs peuvent être utiles.

Quel fruit est bon pour le cancer ?

Quels sont les meilleurs fruits et légumes ? – Tout d’abord, il est important d’insister sur l’importance de la diversité des aliments consommés : chaque fruit et chaque légume apporte son lot de vitamines, de minéraux et d’antioxydants qui lui sont propres.

  1. C’est donc en variant au maximum ses menus que l’on a le plus de chance de couvrir tous ses besoins et de ne pas souffrir de carences;
  2. On peut par exemple veiller à avoir une assiette la plus colorée possible, chaque pigment ayant une propriété santé particulière : le lycopène dans la tomate, le bêta-carotène dans les carottes, la mangue ou le melon, les glucosinolates dans les légumes verts etc;

Si tous les fruits et légumes sont indéniablement bons pour la santé et utiles pour prévenir le cancer, certains ont une densité nutritionnelle plus intéressantes que d’autres, ce qui en fait de meilleurs alliés anti-cancer. Parmi eux, on trouve : 

  • Les baies  : framboises, myrtilles, mûres, groseilles, goji, açaï, canneberge etc … Ces petits fruits colorés brillent par leur teneur en polyphénols antioxydants, essentiels dans la prévention du cancer. Les antioxydants permettent de lutter contre les effets du stress oxydatif sur les cellules, responsable de certaines maladies liées au vieillissement , telles que de nombreux cancers.
  • Les choux  : chou-fleur, brocolis, choux de Bruxelles, Kale… ces aliments de la famille des crucifères sont riches en glucosinates, des composés connus pour leurs effets anti-cancer. Une étude chinoise de 2013 démontre notamment l’effet préventif des choux sur le cancer du côlon, l’un des plus meurtriers en France.
  • Les agrumes  : orange, pamplemousse, citron… particulièrement riches en vitamine C, vitamine antioxydante par excellence, les agrumes seraient d’excellents fruits anti-cancers. Une étude néerlandaise de 2011 met notamment en évidence l’effet protecteur des agrumes sur les cancers de l’estomac et de l’œsophage.
  • L’oignon et l’ail  : ils appartiennent à la famille des alliacés, connus pour leur richesse en flavonoïdes et en composés sulfurés. Cette famille d’aliments aurait la capacité de freiner l’apparition des cancers et de limiter la croissance des tumeurs. Une récente étude de 2019 met en évidence une association inverse entre la consommation d’ail et d’oignon, et l’apparition de cancer du sein.

Quelle vitamine pour chimiothérapie ?

Situations liées aux traitements du cancer – La vitamine E est l’un des compléments les plus utilisés en cas de cancer. Cette vitamine semble renforcer l’effet de la radiothérapie et de la chimiothérapie (1). En ce qui concerne spécifiquement la radiothérapie, la vitamine E pourrait reduire la formation de fibrose durant une radiothérapie (4).

Un apport supplémentaire en vitamine E peut diminuer les bouffées de chaleur causées par une hormonothérapie, surtout à base de tamoxifène (Nolvadex®, Tamizam®, Tamoplex®, Tamoxifen®) (2,3). Un apport supplémentaire en vitamine E peut potentiellement réduire/prévenir la neuropathie périphérique (douleurs nerveuses) lors d’un traitement à base de cisplatine ou de paclitaxel.

Cependant, pour obtenir cet effet, des doses élevées sont nécessaires, ce qui n’est pas sans danger. Toute prise doit donc être faite en accord – et avec le suivi – du médecin traitant (4,8). Pour les cancers de la tête et du cou, un apport supplémentaire en vitamine E peut réduire certains effets secondaires liés à la radiothérapie tels que l’inflammation des muqueuses buccales ou les atteintes osseuses (2,4).

  1. En cas de leucémie (aiguë), et pour divers autres types de cancers, des études ont montré que la vitamine E réduisait la toxicité pour les nerfs et les inflammations buccales (mucites) dues à la chimiothérapie, surtout lors de l’utilisation de cisplatine (1,3,4,5);

La vitamine E (400 mg/jour) semble également prévenir la perte d’audition résultant d’un traitement au cisplatine (9).

Comment éliminer les toxines de la chimio ?

Bien s’hydrater – Pour aider vos reins à filtrer les molécules et les toxines de chimio présentes dans l’organisme, une bonne hydratation est primordial. Idéalement, il faudrait boire 1,5 litre à 2 litres d’eau par jour pour être en bonne santé. Pour celles et ceux qui rencontrent des difficultés à boire régulièrement, n’hésitez pas à mettre des petits rappels sur votre téléphone pour vous arrêter boire un verre d’eau.

Vous pouvez également compléter votre hydratation avec des tisanes. Enfin, aromatisez votre eau de la journée avec des fruits ou des feuilles de menthe pour la rendre plus agréable. Par exemple en été, ajoutez 10 rondelles de concombre, deux rondelles de citron avec quelques feuilles de menthe à un litre d’eau et laissez infuser.

En hiver, coupez une petite orange bio en tranche très fine et laissez infuser. Vous pouvez aussi choisir des oranges sanguines, du citron ou des clémentines. .

Comment vivre au mieux sa chimio ?

La chimiothérapie va espacer ou arrêter vos règles. Cela n’exclut pas un risque de grosses- se et une contraception efficace est donc nécessaire pendant toute la durée du traitement et dans les mois qui suivent. Une grossesse peut être envisagée après un délai d’un à deux ans à compter de la fin du traitement.

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Comment augmenter les globules rouges pendant une chimio ?

À chaque cause de l’anémie un traitement possible – L’anémie peut être due aux traitements qui vous sont prescrits ou bien aux conséquences du cancer lui-même. On distingue trois grandes causes pouvant être à l’origine d’une anémie dite cancéreuse :

  • Une carence en certains nutriments : le fer et certaines vitamines du groupe B (B9 ou acide folique, B12) participent en effet à la fabrication de l’hémoglobine et à la production de globules rouges.
  • Une diminution de la production de globules rouges : La capacité de la moelle osseuse à fabriquer des globules rouges de bonne qualité peut être altérée par la maladie elle-même et/ou ses traitements (chimiothérapie, radiothérapie).
  •   Les hémorragies : elles peuvent se produire à l’occasion d’une intervention chirurgicale ou exister dans des organes comme l’estomac ou les intestins. Dans ce dernier cas, si les pertes de sang ne sont pas très importantes mais continues, la quantité de globules rouges diminue de façon critique.

Votre alimentation est la source naturelle qui apporte à votre organisme les nutriments essentiels. Si l’anémie persiste malgré une alimentation équilibrée, la prise de suppléments alimentaires en fer et vitamines B pourra être envisagée. Il est possible d’augmenter la quantité de globules rouges dans le sang de différentes façons. Une transfusion sanguine aura un effet quasiment immédiat et sera privilégiée pour une anémie sévère.

Des injections d’érythropoïétine peuvent également être envisagées, elles permettent de stimuler la fabrication de globules rouges par votre organisme. C’est dans tous les cas l’équipe médicale qui est en mesure de proposer la solution la plus appropriée en fonction de la sévérité et de la cause de votre anémie.

Trop fatigué ? Ne décidez pas d’interrompre votre traitement. Ne diminuez ou n’arrêtez jamais votre traitement sans avis médical, même si vous avez le sentiment qu’il vous fatigue. Vous risqueriez L’anémie peut survenir des conséquences de certains traitements du cancer (chimiothérapies et radiothérapies notamment) ou être causée par la maladie elle-même.

Il existe différents traitements, indiqués en fonction de l’origine de l’anémie. www. roche. fr de réduire son efficacité et donc de compromettre vos chances de guérison. En fait, il suffit dans la plupart des cas de traiter l’anémie pour vous aider à retrouver votre forme et votre dynamisme.

En cas de fatigue chronique, parlez-en à votre médecin. N’oubliez pas que l’exercice physique régulier est conseillé lors de fatigue. .

Comment protéger son foie pendant la chimio ?

Protéger le foie – Pour accompagner les chimiothérapies, le desmodium ( Desmodium adscendens ) est la première plante que conseille le Dr Ménat. Originaire d’ Afrique , cette plante aux fleurs pourpres est un des plus puissants protecteurs du foie. À ce titre, elle prévient efficacement les effets secondaires de la chimiothérapie et aide ainsi à mieux la supporter : les nausées sont atténuées, et la récupération devient plus rapide.

Pour que le desmodium soit suffisamment efficace, il faut demander en pharmacie une forme assez dosée comme les EPS (extrait fluide de plante sèche) plutôt que des gélules. Il accompagnera ainsi les chimiothérapies le jour même et les jours qui suivent, en fonction des nausées.

Après les protocoles de chimiothérapie, d’autres plantes protectrices et régénératrices du foie peuvent prendre le relais, comme le chrysantellum, le romarin et le chardon-Marie, et dans une moindre mesure les feuilles d’artichaut, le pissenlit, le fumeterre ou le boldo.

Comment lutter contre la fatigue de la chimio ?

Adapter le quotidien à son état – Mais l’équipe soignante peut aussi prodiguer de multiples conseils, que l’on retrouve sur de nombreux sites d’information sur cette maladie. Les recommandations de l’Institut national du cancer en sont une illustration.

  1. Pour faire face à la fatigue, quatre types d’actions sont préconisés;
  2. La première vise à adapter le quotidien à son état de santé;
  3. Il s’agit de se fixer chaque jour des priorités, en mettant l’accent sur les activités qui procurent du plaisir, en tenant compte du rythme qu’impose la fatigue et, ainsi, s’accorder des moments de repos en déléguant certaines tâches;

Ce repos ne doit naturellement pas perturber le sommeil nocturne. D’où l’importance de bien déterminer le temps nécessaire pour récupérer, en privilégiant des siestes courtes: dormir dans un fauteuil, en position allongée ou assise, permet de limiter la durée de ces temps de pause.

Du reste, l’Institut national du cancer insiste sur la nécessité d’alterner périodes de repos et d’activité physique régulière comme la bicyclette, la natation, la marche, la gymnastique ou encore le yoga, tant pour diminuer le stress et la fatigue que pour se réapproprier son corps.

Peinture, musique, lecture ou activités manuelles sont aussi à privilégier, surtout dans un premier temps, quand le malade reste incapable de fournir des efforts physiques. Car l’essentiel est là: pour rompre la spirale infernale de la fatigue, du stress et des angoisses, on doit retrouver des sensations agréables et se sentir acteur de sa guérison.

C’est le principal intérêt des médecines douces, vers lesquelles se tournent 60 % des malades atteints de cancer, en complément du traitement conventionnel. Attention, toutefois, à ne pas tout mélanger.

Car comme le souligne le Pr Simon Schraub, directeur honoraire du Centre de lutte contre le cancer de Strasbourg, «de l’ homéopathie capable de guérir le cancer, cela n’existe pas!».

Quand apparaissent les effets secondaires de la chimiothérapie ?

Les agents chimiothérapeutiques détruisent les cellules cancéreuses, mais ils peuvent aussi endommager les cellules saines. Les lésions aux cellules saines provoquent des effets secondaires. Les divers tissus et cellules du corps réagissent différemment à la chimiothérapie.

Les agents chimiothérapeutiques affectent les cellules qui se développent et se divisent activement, comme les cellules sanguines contenues dans la moelle osseuse, les cellules qui tapissent la bouche et le tube digestif (tractus Terme qui désigne tout ce qui a rapport aux organes digestifs.

Le tractus gastro-intestinal (GI), ou tube digestif, comprend la bouche, le pharynx (gorge), l’ œsophage , l’ estomac , l’ intestin grêle et le gros intestin. “>gastro-intestinal, GI ) ainsi que les cellules des follicules pileux. Peu importe le traitement, il est possible que des effets secondaires se produisent.

Cependant, ils n’affectent pas toutes les personnes; si c’est le cas, chacune ne les ressent pas de la même façon. Si des effets secondaires se manifestent, ils peuvent le faire n’importe quand pendant, tout de suite après ou quelques jours, voire quelques semaines après la chimiothérapie.

Il arrive que des effets secondaires apparaissent des mois ou des années à la suite de la chimiothérapie (effets tardifs). La plupart disparaissent d’eux-mêmes ou peuvent être traités, mais certains risquent de durer longtemps ou d’être permanents. Il est possible que vous vous inquiétiez à propos des effets secondaires de la chimiothérapie.

  • Toutefois, de nombreux types de chimiothérapie administrés aujourd’hui sont plus faciles à tolérer qu’ils l’étaient par le passé;
  • De plus, votre équipe de soins est là pour vous aider à prévenir les effets secondaires et à les traiter;

Les effets secondaires de la chimiothérapie dépendent principalement du type de médicament employé, de la dose administrée, du mode d’administration et de votre état de santé global. Les effets secondaires suivants sont ceux qui sont les plus éprouvés par les personnes qui reçoivent une chimiothérapie.

  • Avisez votre équipe de soins si vous éprouvez ces effets secondaires ou d’autres que vous croyez liés à la chimiothérapie;
  • Plus tôt vous signalez un problème, plus rapidement on pourra vous dire comment aider à le traiter;
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Un nombre peu élevé de cellules sanguines est le résultat des effets de la chimiothérapie sur les cellules sanguines fabriquées dans la moelle osseuse. Le nombre de cellules sanguines atteint souvent son plus bas niveau de 7 à 14 jours après la chimiothérapie.

  • Un nombre peu élevé de globules blancs (neutropénie ou leucopénie) accroît le risque d’infection.
  • Un nombre peu élevé de plaquettes (thrombocytopénie) accroît le risque d’ecchymoses et de saignements.
  • Un nombre peu élevé de globules rouges ( anémie ) engendre de la Lassitude extrême ou manque d’énergie. “>fatigue , de la pâleur, des étourdissements, un essoufflement et un Sensation générale d’inconfort ou de maladie. “>malaise.

La fatigue rend une personne plus lasse que d’habitude et peut nuire aux activités quotidiennes et au sommeil. La fatigue peut être causée par l’anémie, des agents chimiothérapeutiques spécifiques, un manque d’appétit ou la dépression. Elle peut aussi être liée à des substances toxiques qui sont produites dans le corps lorsque les cellules cancéreuses se décomposent et meurent.

  1. La baisse du nombre de cellules sanguines est l’effet secondaire le plus courant et le plus grave de la chimiothérapie;
  2. Lorsqu’elle se produit, on ajuste immédiatement la dose ou on pourrait cesser temporairement le traitement;

La fatigue peut apparaître dans les jours qui suivent une chimiothérapie et peut durer longtemps après la fin du traitement. Elle a aussi tendance à s’accentuer si l’on reçoit d’autres traitements, comme une radiothérapie. En général, la fatigue se dissipe graduellement avec le temps.

Les nausées et vomissements peuvent apparaître au cours des premières heures qui suivent l’administration des agents chimiothérapeutiques et durent habituellement environ 24 heures. Cependant, les nausées et vomissements peuvent aussi se manifester plus de 24 h après le traitement et durer plusieurs jours (nausées et vomissements tardifs).

Chez certaines personnes, la nausée d’anticipation peut se manifester après quelques séances, c’est-à-dire qu’elles ont la nausée avant même l’administration du médicament parce qu’elles s’attendent à être malades. L’équipe de soins peut vous aider à gérer les nausées et vomissements en vous prescrivant des médicaments antinauséeux.

Ce ne sont pas tous les agents chimiothérapeutiques qui causent des nausées et des vomissements. Les nausées et vomissements sont plus susceptibles de se produire lorsqu’on associe des agents chimiothérapeutiques.

Les nausées et vomissements, la fatigue ou une accumulation de déchets causée par la mort des cellules cancéreuses peuvent engendrer une perte d’appétit. Certains agents chimiothérapeutiques risquent de causer temporairement des changements du goût et de l’odorat, susceptibles de rendre les aliments moins appétissants.

Certaines personnes n’ont parfois plus envie de manger du tout, même si elles savent qu’elles doivent le faire. Cela risque d’engendrer une perte de poids et la malnutrition. Avoir une bonne alimentation pendant et après la chimiothérapie est important pour vous aider à vous rétablir du traitement.

La perte de poils et de cheveux (alopécie) est un effet secondaire courant de nombreux agents chimiothérapeutiques, mais pas de tous. Les follicules pileux sont endommagés par la chimiothérapie parce que les médicaments affectent les cellules qui se développent rapidement.

Il est difficile de prédire combien de poils et de cheveux vous pouvez perdre et combien de temps la perte de poils et de cheveux durera, puisque cela dépend du type et de la dose de médicament administré et de votre corps.

La perte de poils et de cheveux peut toucher n’importe quelle partie du corps, et non pas seulement la tête. Vous pouvez commencer à perdre vos poils et vos cheveux en quelques jours ou de 2 à 3 semaines après qu’on ait administré la première dose de chimiothérapie.

Les poils et les cheveux repoussent habituellement une fois la chimiothérapie terminée. La diarrhée est l’évacuation fréquente de selles molles et liquides. Elle se manifeste parce que les agents chimiothérapeutiques affectent souvent les cellules qui tapissent le tube digestif (tractus gastro-intestinal ou GI).

De nombreux facteurs font augmenter le risque de souffrir de diarrhée, dont le type et la dose d’agent chimiothérapeutique administré. La diarrhée est souvent plus importante lorsqu’on associe des agents chimiothérapeutiques. Elle se manifeste peu après qu’on ait commencé la chimiothérapie et est susceptible de se prolonger jusqu’à 2 semaines après le traitement.

  • La constipation se produit lorsque les selles deviennent dures et sèches et qu’elles sont difficiles à évacuer;
  • La constipation peut apparaître pour de nombreuses raisons, dont le type d’agent chimiothérapeutique employé, les médicaments administrés pendant la chimiothérapie pour soulager les nausées et vomissements et une consommation moindre de liquides;

La constipation a tendance à apparaître quelques jours après qu’on ait administré la première dose de chimiothérapie. La douleur dans la bouche (aussi appelée stomatite ou mucosite buccale) est le résultat de la chimiothérapie sur les cellules qui se trouvent dans la bouche.

De nombreux médicaments peuvent rendre la bouche endolorie, mais c’est plus fréquent quand les doses sont élevées. Votre bouche peut devenir endolorie de 5 à 10 jours après le début de la chimiothérapie.

La douleur s’atténue souvent d’elle-même quelques semaines après le traitement. Il est possible que des lésions douloureuses, des ulcères ou des infections apparaissent dans la bouche ou la gorge, ou encore sur les gencives. Une hygiène de la bouche régulière peut aider à prévenir la douleur et à réduire le risque d’infection.

  1. L’équipe de soins vous indiquera à quelle fréquence nettoyer et rincer votre bouche ainsi que les produits à utiliser;
  2. Certaines personnes peuvent avoir besoin de prendre des analgésiques;
  3. Les muqueuses tapissent de nombreux organes du corps, de la bouche au rectum et au vagin;

La chimiothérapie peut endommager les cellules des muqueuses qui finissent par devenir enflammées, une affection qu’on appelle mucosite. Cela peut provoquer la formation d’ulcères douloureux, des saignements et des infections. La mucosite est habituellement temporaire et disparaît quelques semaines après le traitement.

  • Toute difficulté à avaler ou douleur en avalant , brûlure d’estomac ou douleur dans la partie supérieure de l’ Partie du corps située entre le thorax et le bassin qui renferme l’ appareil digestif et d’autres organes;

Le mot abdominal désigne tout ce qui est relatif à l’abdomen, par exemple la paroi abdominale. L’abdomen est souvent appelé ventre. “>abdomen doit être signalée au médecin ou à l’équipe de soins. La douleur causée par l’inflammation de l’œsophage (œsophagite) est susceptible de nuire à l’alimentation.

  • Vous devrez peut-être modifier votre alimentation ou prendre des analgésiques si vous avez de la difficulté à avaler ou si vous ressentez de la douleur en avalant;
  • Les démangeaisons, écoulements, odeurs, douleurs ou saignements vaginaux doivent être signalés au médecin ou à l’équipe de soins;

Vous pouvez soulager la douleur et les démangeaisons vaginales en appliquant des compresses d’eau fraîche ou en prenant un bain d’eau tiède. Évitez d’utiliser des serviettes hygiéniques ou des tampons parfumés. Si vous avez une infection vaginale ou une douleur intense, votre médecin peut vous prescrire des médicaments qui aideront à la soulager.

  • Certains agents chimiothérapeutiques peuvent affecter les papilles gustatives et ainsi causer des changements du goût;
  • Par exemple, vous pourriez trouver que la viande a un goût métallique;
  • Même les aliments dont vous avez normalement envie, comme les sucreries ou les collations salées, peuvent avoir mauvais goût;

Vous pourriez devenir plus sensible aux odeurs. Les odeurs que les autres ne remarquent pas peuvent vous rendre nauséeux. Plusieurs mois peuvent être nécessaires avant que le goût et l’odorat ne reviennent à la normale une fois que la chimiothérapie est terminée.

  1. Certains médicaments peuvent causer des problèmes de peau ou une irritation cutanée;
  2. Les changements de la peau peuvent se produire pendant la chimiothérapie et un certain temps après;
  3. Les réactions cutanées susceptibles de se manifester comprennent la rougeur, les démangeaisons, la sécheresse, les éruptions ou les changements des ongles;
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Il est aussi possible que la peau soit plus sensible ou s’irrite facilement au soleil au cours de la chimiothérapie. Certains agents chimiothérapeutiques peuvent causer des changements aux yeux, comme une vision légèrement floue, un larmoiement des yeux ou encore rendre difficile le port de verres de contact.

  1. Avisez votre médecin ou votre équipe de soins si vous constatez des changements à vos yeux;
  2. Certains agents chimiothérapeutiques peuvent causer des effets secondaires douloureux, comme des douleurs musculaires et articulaires, des maux de tête et des maux d’estomac;

Vous pourriez ressentir de la douleur , comme une sensation de brûlure, un engourdissement, des picotements ou une douleur fulgurante dans les mains et les pieds ( dommages aux nerfs périphériques ). Ce type de douleur peut se prolonger bien après que le traitement soit terminé.

  1. L’équipe de soins vous indiquera quels médicaments utiliser pour soulager la douleur;
  2. De nombreux agents chimiothérapeutiques sont administrés par injection, habituellement dans une veine (voie intraveineuse, ou IV);

Insérer l’aiguille ou le cathéter dans la veine peut causer un certain inconfort ou de la douleur. Mais vous ne ressentirez probablement pas de douleur ou d’inconfort lorsqu’on vous administrera les médicaments par voie intraveineuse. Il existe un faible risque que les agents chimiothérapeutiques fuient d’une veine et s’écoulent dans les tissus voisins.

  • On parle alors d’extravasation;
  • Certains agents chimiothérapeutiques irritent les tissus; ces médicaments sont appelés agents vésicants;
  • Dans certains cas, les agents chimiothérapeutiques qui fuient d’une veine peuvent causer des dommages importants à la peau et aux tissus mous voisins;

Votre équipe de soins vous surveillera pour déceler tout signe d’extravasation. Avisez votre équipe de soins si vous remarquez de la rougeur, de l’enflure, de la douleur ou une sensation de brûlure ou de picotement au point d’injection. Une aiguille ou un cathéter intraveineux (IV) peut causer l’inflammation d’une veine, une affection qu’on appelle phlébite. Les risques de phlébite augmentent selon les facteurs suivants :

  • temps que l’aiguille ou le cathéter IV reste en place
  • type de médicament ou de solution administré
  • taille et emplacement de l’aiguille ou du cathéter

Le personnel infirmier vérifie souvent les accès intraveineux pour tout signe de phlébite. En présence d’une phlébite, on retire habituellement l’aiguille ou le cathéter IV pour les placer ailleurs. On pourrait vous donner des compresses tièdes et humides pour aider à réduire l’inflammation. Certains types d’agents chimiothérapeutiques peuvent endommager l’oreille interne, causant ainsi une perte de l’audition ou des troubles de l’équilibre.

La région qui entoure le point d’insertion ou qui longe la veine peut devenir rouge, chaude, sensible ou douloureuse et enflée. Ces effets se résorbent habituellement après le traitement, mais votre médecin peut réduire la dose de la chimiothérapie ou modifier votre traitement afin d’éviter que d’autres dommages auditifs se produisent.

Certains agents chimiothérapeutiques risquent de causer des dommages aux organes. L’équipe de soins prend des précautions pour limiter les dommages aux cellules saines, mais il arrive que des organes soient endommagés. Les organes qui peuvent être affectés par la chimiothérapie sont entre autres les suivants :

  • cœur;
  • poumons;
  • foie;
  • reins;
  • vessie;
  • appareil reproducteur féminin;
  • appareil reproducteur masculin;
  • système nerveux , y compris des dommages aux nerfs périphériques.

Certains types de dommages aux organes apparaissent plus tard que d’autres. Par exemple, certains types d’agents chimiothérapeutiques font augmenter le risque d’apparition de troubles cardiaques et pulmonaires plus tard dans la vie, des années après l’administration d’une chimiothérapie. La chimiothérapie peut vous causer de la difficulté à penser clairement ou à vous concentrer.

  1. On parle alors souvent de « chimio-cerveau »;
  2. Cet effet peut disparaître une fois la chimiothérapie terminée ou durer jusqu’à un an après le traitement;
  3. Il arrive parfois aussi qu’il se manifeste bien après la chimiothérapie;

Votre équipe de soins peut suggérer des façons d’améliorer votre concentration et d’atténuer les changements qui affectent votre mémoire. Elle peut suggérer des exercices cognitifs pour aider à améliorer la mémoire et la concentration. La chimiothérapie peut provoquer une fatigue et une perte d’intérêt pour le sexe.

Elle peut aussi endommager les organes reproducteurs et causer des troubles de la fertilité. La ménopause provoquée par le traitement est également possible chez la femme. Si la préservation de votre fertilité est importante pour vous, parlez-en à votre médecin avant d’entreprendre le traitement.

Il est possible qu’il y ait des façons de protéger vos organes reproducteurs au cours du traitement, ce qui pourrait faire en sorte que vous pourriez tomber enceinte ou rendre une autre personne enceinte après le traitement. Certains types d’agents chimiothérapeutiques font augmenter le risque de cancer secondaire, mais cela n’arrive pas très souvent.

Les personnes ayant reçu une chimiothérapie ainsi qu’une radiothérapie sont les plus susceptibles d’être atteintes d’un cancer secondaire. Les bienfaits du traitement du cancer surpassent en général largement le risque de développer un cancer secondaire.

Si un cancer secondaire se manifeste, il a tendance à le faire plus tard dans la vie. Remarque :  D’autres effets secondaires peuvent se produire. Pour avoir plus de détails sur des médicaments spécifiques, consultez la section Sources d’information sur les médicaments .

Comment faire plaisir à un malade du cancer ?

Les cadeaux pour oublier le cancer – Nous n’avons pas toujours envie de faire des cadeaux particulièrement utiles et un cadeau qui permet de s’échapper un peu de la maladie peut tout autant séduire. Des jolis coussins  : pour mettre un peu de douceur dans un intérieur et être bien confortable à la maison.

Un plaid tout doux  : pour se blottir dessous devant un bon film ou en lisant un bon livre. Des bougies pas trop parfumées  : pour leur lumière douce et leur effet réconfortant. Un livre de voyages  : pour s’échapper sans bouger du canapé ! Une plante verte toute mignonne ou un mini jardin japonais  : parce que s’occuper de son petit jardin c’est très bon pour le moral.

Une lampe de luminothérapie  : pour se remplir d’une bonne énergie. Un livre de méditation ou des séances de sophrologie  : pour apprendre à oublier les traitements. Les Produits Qui Aident À Supporter Une Chimio.

Comment se nettoyer l’organisme après une chimio ?

Bien s’hydrater – Pour aider vos reins à filtrer les molécules et les toxines de chimio présentes dans l’organisme, une bonne hydratation est primordial. Idéalement, il faudrait boire 1,5 litre à 2 litres d’eau par jour pour être en bonne santé. Pour celles et ceux qui rencontrent des difficultés à boire régulièrement, n’hésitez pas à mettre des petits rappels sur votre téléphone pour vous arrêter boire un verre d’eau.

Vous pouvez également compléter votre hydratation avec des tisanes. Enfin, aromatisez votre eau de la journée avec des fruits ou des feuilles de menthe pour la rendre plus agréable. Par exemple en été, ajoutez 10 rondelles de concombre, deux rondelles de citron avec quelques feuilles de menthe à un litre d’eau et laissez infuser.

En hiver, coupez une petite orange bio en tranche très fine et laissez infuser. Vous pouvez aussi choisir des oranges sanguines, du citron ou des clémentines. .