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Ou Faire Un Stage De Sensibilisation Aux Dangers De L’Usage De Produits Stupéfiants?

Ou Faire Un Stage De Sensibilisation Aux Dangers De L
Présentation de l’établissement – –> Le stage de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants est une sanction située entre la poursuite pénale et le suivi médical, qui est adaptée aux usagers adoptant des comportements déviants, c’est une action à la fois pédagogique et pécuniaire.

Cette sanction a pour objectif de « faire prendre conscience au condamné des conséquences dommageables pour la santé humaine et pour la société de l’usage de tels produits ». Date de création du service  : avril 2009 Statut  : Mesure alternive aux poursuites ou Mesure pré et post-sententielle Nombre de stages annuel : 10 à 15 par an selon le besoin Public accueilli  : Mineurs et majeurs exclusivement orientés sur décision de justice Le public accueilli Mesure applicable à tous les majeurs et aux mineurs de plus de 13 ans.

Les locaux. Les stages de sensibilisation se déroulent dans les locaux du Pôles Socio Judiciaire situé au 72 cours de la Libération Grenoble. L’équipe accompagnante pluridisciplinaire

  • Un directeur et une secrétaire gèrent le fonctionnement administratif et managérial du service
  • L’équipe pluridisciplinaire du pôle socio-judiciaire, formée aux techniques d’animation de stage, se relaye par binôme pour l’organisation des stages

La prise en charge éducative

  • La mise en place de la mesure

Les stages de sensibilisation peuvent être proposés par le ministère public au titre des mesures alternatives aux poursuites et de la composition pénale. L’obligation d’accomplir un stage peut aussi être prononcée dans le cadre de l’ordonnance pénale et à titre de peine complémentaire. Les frais du stage sont à la charge du condamné. Le stage est avant tout mis en place dans le but d’informer et d’éduquer sur les usages des produits stupéfiants.

  • Le déroulé du stage

Organisé sur une journée et animé par deux intervenants il s’articule en plusieurs temps d’échanges qui ont pour objectif d’aborder les points suivants :

  • Rappel du cadre judiciaire et définitions des termes de loi : stupéfiants, casier judiciaire, récidive.
  • Les principaux risques associés à l’usage des stupéfiants les plus courants (cannabis, cocaïne, ecstasy et héroïne) et les risques sociaux associés à ces pratiques déviantes.
  • La relation aux produits de façon plus large ainsi que des pistes de réflexion autour des différents facteurs de risques pouvant favoriser une pratique addictive.
  • La relation du consommateur à sa famille et à la société
  • Les supports de travail utilisés

Des supports ciblés sont utilisés afin que les stagiaires puissent faire des parallèles avec leurs propres expériences personnelles

  • Supports audiovisuels : des campagnes de prévention sur l’usage de stupéfiants ou la conduite sous l’emprise de stupéfiants,
  • Documentaires relatifs à la fabrication de la cocaïne, aux effets du cannabis dans le cerveau, aux risques d’accoutumance spécifiques à l’ecstasy.
  •  Sketch d’un humoriste qui présente les conduites addictives de façon décalée…
  • Témoignages : écrit d’un ancien usager de drogues condamné à de multiples reprises, des chansons de jeunes artistes
  • Des quizz et autres activités plus ludiques

Ces outils pédagogiques ont pour objectif de favoriser le débat, la réflexion sur sa propre consommation et permettre une meilleure compréhension du phénomène de l’addiction et ses conséquences.

Comment sensibiliser les jeunes aux dangers de la drogue ?

Accueil > Nos formations > Actions de sensibilisation en milieu scolaire sur les dangers de la drogue et de l’alcool NarcoCheck  propose aux écoles, collèges et lycées des actions de sensibilisation aux dangers des drogues et de l’alcool. Nous ne sommes pas uniquement fabricants de tests de dépistage. Objectifs :

  • En premier lieu, informer les élèves sur la nature des différentes drogues et leurs effets. Ils seront notamment invités à s’exprimer sur leur propre perception des drogues ,  sur leur dangerosité et leur pouvoir addictif. Ils seront ainsi amenés à se rendre compte que la plupart des « connaissances populaires » en la matière sont erronées, inexactes ou incomplètes. Un accent tout particulier sera mis sur :
      • • Le caractère hautement addictif du cannabis d’aujourd’hui, à la teneur en THC (substance active) bien plus importante que dans le cannabis des années 1970.
      • • Les maladies mentales graves que les drogues peuvent provoquer ou déclencher.
      • • Casser l’image « cool » et « tendance » du cannabis, de la cocaïne et des autres drogues.
    • • La dangerosité des nouvelles « drogues légales », que de plus en plus de jeunes se procurent sur internet.
  • Dans un second temps, les élèves seront informés sur la législation française en matière de lutte contre les stupéfiants. On leur rappellera que contrairement à ce qu’ils pensent, les sanctions pénales pour simple usage de stupéfiants sont appliquées de façon quasi systématique et que la détention d’une petite quantité de drogue peut être lourde de conséquences (forte amende, garde à vue, stage de sensibilisation, voire une peine d’emprisonnement en cas de récidive).
    1. En tant qu’organisme de formation spécialisé sur la question des drogues, des stupéfiants et des addictions, nous répondons aux besoins des établissements scolaires, qui souhaitent organiser des séances d’information sur les drogues et l’alcool;

    Dans tous les cas, il en sera fait mention dans le casier judiciaire avec pour conséquences l’impossibilité pour le jeune de postuler pour certains emplois dans la fonction publique et dans un nombre croissant d’entreprises privées, qui demandent aujourd’hui un dépistage à l’embauche et une copie du casier judiciaire.

  • Enfin, les élèves seront informés sur les drogues et le risque routier. Il est faux de penser que le cannabis ne tue pas. Chaque année sur les routes de France, 230 personnes meurent à cause du cannabis et la majorité d’entre eux sont des jeunes de moins de 25 ans. Nous leur rappellerons également que depuis 2008, les forces de Police peuvent pratiquer des tests de dépistage salivaire sur les automobilistes, mais aussi sur les conducteurs de scooter et même les cyclistes.

Une méthode pédagogique et interactive adaptée aux jeunes : Nos  actions de sensibilisation et d’informations sur les dangers des drogues en milieu scolaire sont basées sur l’échange et l’interactivité. Nous préférons instaurer un débat et un échange d’opinion plutôt qu’un monologue moralisateur dont le message aurait du mal à passer. A l’aide d’images chocs, de vidéos et de récits d’expériences vécues et authentiques , le formateur amènera les élèves à douter de ce qu’ils pensent savoir sur les drogues.

  • Tout résultat positif donnera systématiquement lieu à  un retrait de permis (ou l’interdiction de passer son permis pendant 2 ans dans le cas d’un conducteur de scooter) et à une forte amende;
  • Le but est de créer un véritable électrochoc et de briser les idées reçues des jeunes sur les drogues aujourd’hui;

Un préalable indispensable avant la mise en place de dépistages : Déjà pratiqués dans plusieurs pays, comme aux Etats-Unis ou dans les pays scandinaves, le dépistage des élèves en milieu scolaire intéresse de plus en plus d’établissements français et européens.

Ce type de prévention par le test doit toutefois impérativement être annoncé et expliqué aux élèves, afin d’obtenir le compréhension et leur consentement. Nous intervenons donc directement auprès des élèves, afin de leur expliquer ce nouveau principe de précaution et de prévention, avant même la fourniture de tests de dépistage des drogues aux écoles, collèges et lycées.

Contactez-nous pour obtenir un conseil personnalisé ou un devis au  01. 46. 70. 76. 12 ou utilisez notre  formulaire de contact.

Où faire un stage de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants ?

Mise en ligne le 28/02/2018 Bonjour,  Le stage de sensibilisation aux dangers de l’usage des stupéfiants est une mesure alternative aux poursuites permettant d’éviter de se retrouver poursuivi devant un tribunal suite à une première infraction “mineure”.

La détention tout comme l’usage de produits classés stupéfiants sont des infractions et il est par conséquent tout à fait possible d’être poursuivi pour détention même si l’usage n’est pas constaté par la positivité à un test de dépistage.

Concernant le stage, il doit être réalisé auprès d’une association validée du champ sanitaire et social, souvent un organisme spécialisé dans les addictions tel qu’un CSAPA (Centre de Soins d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie). Il s’agit d’effectuer deux journées de 6 heures maximum, fractionnables sur 6 mois.

Les frais, à la charge du stagiaire, s’élèvent généralement à 150 ou 200 euros (450 euros maximum). L’organisme auprès duquel vous allez effectuer ce stage vous renseignera plus précisément sur les modalités de paiement possibles ainsi que sur la durée de votre première journée.

Dans le cas où vous n’auriez pas trouvé cet organisme, nous vous joignons ci-dessous les coordonnées des deux associations les plus proches de chez vous pour que vous puissiez les contacter. Si d’autres questions se posent, n’hésitez pas bien sûr à nous recontacter.

Quels sont les produits stupéfiants ?

Où faire un stage de sensibilisation ?

Le stage peut être réalisé dans n’importe quel centre de sensibilisation à la sécurité routière français agréé par la préfecture du département choisi. Pour trouver un centre, il peut tout simplement de rechercher votre ville sur : permis-apoints. com.

Quelles sont les solutions pour lutter contre la drogue chez les jeunes ?

Quelles sont les solutions pour lutter contre la drogue en milieu scolaire ?

Le projet LST (Life Skills Training) Footnote  68 – Le projet LST est un programme de prévention en milieu scolaire d’une durée de trois ans. Il cible l’usage de tabac, d’alcool et de marijuana, en offrant aux étudiants l’opportunité de briser la progression allant de la consommation de ces substances à l’abus d’autres drogues.

  1. Conçu pour agir sur les facteurs psychosociaux associés au début de la consommation de drogues, le programme LST vise en particulier les connaissances, les attitudes et les normes en matière de drogues, les aptitudes à la résistance aux drogues, la gestion personnelle de soi et les habiletés sociales;

L’amélioration des connaissances en matière de prévention et des aptitudes à la résistance fournit aux élèves les outils nécessaires au développement d’attitudes et de normes anti-drogue ainsi que la capacité de résister aux pressions des pairs et des médias les incitant à l’usage de substances.

En améliorant les compétences personnelles et sociales des jeunes, l’enseignement d’aptitudes à la gestion de soi et d’habiletés sociales peut exercer un effet positif sur l’ensemble des facteurs psychologiques associés à une diminution du risque d’abuser de la drogue, notamment sur les motivations interpersonnelles à consommer et sur la vulnérabilité aux influences pro drogues.

Le programme LST comprend 15 leçons de 45 minutes, destinées aux élèves des écoles secondaires. À ceci s’ajoutent une intervention de renforcement supplémentaire de dix leçons au cours de la deuxième année et cinq leçons en troisième. La structure de ce programme permet de tenir compte de la progression de l’usage de drogues qui accompagne le développement des élèves, des changements qui interviennent au plan cognitif et psychosocial, de l’importance croissante des groupes de pairs et des problèmes reliés au passage du primaire au secondaire.

  1. Si le programme s’est montré efficace dès la première année de sa mise en oeuvre, les études d’évaluation Footnote  69 ont montré que les effets préventifs sont bien meilleurs lorsque le programme prévoit les sessions de renforcement supplémentaires;

Par exemple, selon Botvin et ses collaborateurs, Footnote  70 les interventions en première année, sans les sessions supplémentaires, ont eu comme effet de réduire la consommation de cigarettes allant de 56 à 67 %, tandis que cette réduction atteint 87 % chez les étudiants ayant bénéficié de ces sessions supplémentaires.

  • Il faut également souligner que ces sessions supplémentaires augmentent la permanence des effets préventifs en empêchant que ceux-ci s’estompent graduellement avec le temps;
  • Le programme LST s’est avéré efficace indépendamment du type de personnel impliqué dans sa mise en oeuvre : y ont notamment participé des professionnels de la santé, des enseignants et des leaders choisis parmi les pairs, ces derniers étant généralement plus âgés que leurs camarades et bénéficiant de la supervision d’un professionnel adulte;

Les recherches ont montré que le programme LST est à même de réduire de moitié la consommation de drogues. Footnote  71 Ces réductions s’appliquent à la prévalence et à la fréquence, Footnote  72 et concernent principalement l’usage de tabac, d’alcool et de marijuana.

  • Par exemple, les données relatives au suivi à long terme montrent que la diminution de l’usage de drogues observée chez les élèves de 7e année peut durer jusqu’à la fin de l’école secondaire;
  • Les études d’évaluation ont démontré que ce programme est efficace avec plusieurs catégories d’étudiants;

Ce programme, en plus de réduire la consommation de tabac, d’alcool et de marijuana jusqu’à plus de 80%, est à même de faire diminuer des formes plus sérieuses de consommation tels que l’usage hebdomadaire de plusieurs drogues, fumer un paquet de cigarettes par jour, boire des boissons alcoolisées de façon immodérée ou se soûler. Le projet LST (Life Skills Training) Éléments clé

  • Est un programme en milieu scolaire d’une durée de trois ans.
  • S’adresse aux étudiants de l’école primaire et secondaire.
  • Conçu pour cibler les facteurs psychosociaux associés à la consommation hâtive de drogues.
  • Développe les connaissances, les attitudes et les normes relatives aux drogues; apprend aux jeunes à résister aux influences sociales qui les incitent à consommer; développe les aptitudes à la gestion de soi et les habiletés sociales.
  • Se compose de trois principaux éléments : en premier, l’enseignement des aptitudes à la gestion de soi; en second, l’apprentissage des habiletés sociales et enfin, l’information sur les problèmes relatifs à l’abus de drogues.
  • Administré par une variété de personnes : professionnels de la santé, enseignants et leaders choisis parmi les pairs.
  • Comprend 15 sessions de 45 minutes, suivies de 10 sessions de renforcement supplémentaires dans la seconde année et de 5 sessions dans la dernière année.
  • Conduit à une réduction de l’usage de tabac, d’alcool et de drogues jusqu’à 80 %.
  • Considéré comme un programme efficace ou exemplaire par différentes agences reconnues.

Comment obtenir la lettre 48 n ?

Lettre 48N non reçue : que faire ? – Si vous êtes en période probatoire et que vous avez été verbalisé (excès de vitesse supérieur à 30km/h, téléphone au volant ou non-port de la ceinture de sécurité par exemple) pour une infraction routière donnant lieu à un retrait d’au moins 3 points, vous devriez bientôt recevoir la lettre 48N. Si ce n’est toujours pas le cas, plusieurs raisons peuvent expliquer que vous n’ayez toujours pas reçu le courrier :

  • En fonction de votre département, le traitement administratif de votre amende peut prendre plus ou moins de temps. Le courrier peut vous être adressé très tardivement parfois même un ou deux ans après avoir commis l’infraction. Certains conducteurs reçoivent la lettre 48N alors qu’ils ne sont plus en période probatoire. Dans ce cas, il faudra tout de même faire le stage car l’infraction a été commise durant la période probatoire.
  • Généralement, il faut compter 1 à 2 mois après le paiement de la contravention pour recevoir la lettre 48N. Cependant, il se peut que le courrier ait été envoyé à la mauvaise adresse. L’administration se base sur l’adresse qui figure sur la carte grise pour l’envoi de la lettre 48N. Alors, si vous avez déménagé et changé d’adresse depuis l’infraction cela peut expliquer que vous n’ayez toujours pas reçu la lettre 48N.

C’est quoi un stage de sensibilisation ?

Faire un stage de sensibilisation à la sécurité routière permet de récupérer des points sur votre permis de conduire. La participation à un stage peut-être volontaire ou proposée par un juge en remplacement d’une sanction.

Quelle est la différence entre drogue et stupéfiant ?

Différence entre drogue et stupéfiant? Toutes les drogues ne sont pas des stupéfiants. En fait on appelle ‘ stupéfiants ‘, les drogues inscrites sur une liste régulièrement tenue à jour par Swissmedic, l’institut suisse des produits thérapeutiques.

Quelles sont les 3 grandes catégories de drogues ?

Liste des drogues et de leurs effets Elles se divisent en 3 catégories : les perturbateurs/hallucinogènes; les dépresseurs; les stimulants.

Qu’est-ce qu’un produit stupéfiant ?

Article Publiée le 23/09/2019 Information proposée par On appelle « drogue » toute substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le fonctionnement du système nerveux central (sensations, perceptions, humeurs, sentiments, motricité) ou qui modifie les états de conscience.

  • Une drogue est un produit susceptible d’entraîner une dépendance physique et/ou psychique;
  • Les dangers ou risques d’une substance dépendent de nombreux facteurs : l’âge et le sexe du consommateur, le mode de consommation, la fréquence à laquelle il consomme, etc;

En général, parmi les drogues, on peut distinguer celles qui semblent apaiser, telles que l’alcool, les tranquillisants (médicaments), le cannabis ou les opiacés ; celles qui stimulent, telles que la cocaïne, l’ecstasy ou les amphétamines ; celles qui provoquent des hallucinations, telles que le LSD ou les champignons hallucinogènes.

Comment prendre RDV pour un stage de sensibilisation ?

S’inscrire par téléphone à un stage de sensibilisation à la sécurité routière : – Si vous avez besoin d’une assistance pour votre inscription, pas de panique ! Contactez un de nos conseillers au 04. 86. 31. 80. 70. Votre pré-inscription deviendra définitive uniquement au moment de réception de votre paiement. Votre dossier doit comprendre :

  • Un chèque du montant du stage sélectionné ;
  • La photocopie recto-verso de votre permis de conduire, ou de la notification de suspension ;
  • La photocopie de la Lettre 48N si vous êtes en permis probatoire.

Comment payer un stage de sensibilisation ?

Les 2 moyens de paiement les plus répandus – La solution la plus immédiate est de régler son stage de récupération de points en ligne par carte bancaire ou PayPal. Vous avez ainsi la certitude de réserver instantanément une place dans la formation que vous aurez sélectionnée.

Le paiement par chèque est également très répandu, sachant que vous avez la possibilité de l’envoyer par courrier ou de le remettre au centre agréé lors du premier jour de stage. Cependant, votre inscription n’est définitivement validée que lorsque la formation est payée.

Il peut donc arriver que toutes les places soient prises le temps que votre chèque parvienne au centre organisateur.

Est-ce que le stage est obligatoire ?

Le stagiaire doit signer une convention de stage. La convention précise les compétences à acquérir ou à développer au cours du stage. La convention indique également le temps prévu de stage dans le cursus de formation. Le stage doit obligatoirement se dérouler dans le cadre d’une convention signée entre les différentes parties :

  • Stagiaire (ou, s’il est mineur, son représentant légal)
  • Organisme d’accueil (entreprise, administration publique, collectivité territoriale, établissement de santé, association ou tout autre organisme)
  • Établissement d’enseignement ou de formation
  • Enseignant référent au sein de l’établissement d’enseignement
  • Tuteur de stage au sein de l’organisme d’accueil

La convention doit obligatoirement faire figurer les mentions suivantes :

  • Intitulé complet du cursus ou de la formation du stagiaire et son volume horaire par année ou semestre d’enseignement
  • Activités confiées au stagiaire
  • Noms de l’enseignant référent et du tuteur
  • Dates de début et de fin du stage et durée hebdomadaire maximale de présence du stagiaire
  • Conditions d’autorisation d’absence
  • Taux horaire de la rémunération (appelée gratification ), calculée sur la base de la présence effective du stagiaire, et conditions de son versement
  • Avantages éventuels dont le stagiaire peut bénéficier (restauration, hébergement ou remboursement de frais, par exemple)
  • Régime de protection sociale dont bénéficie le stagiaire, notamment en cas d’accident de travail

L’employeur doit tenir à jour la liste des conventions de stage conclues et inscrire les noms et prénoms des stagiaires accueillis dans une partie spécifique du registre unique du personnel. L’inspecteur du travail peut demander une copie des conventions de stage à l’établissement d’enseignement ou à l’organisme d’accueil. Si le stage a lieu à l’étranger, une fiche d’information présentant la réglementation du pays d’accueil sur les droits et devoirs du stagiaire doit être annexée à la convention de stage.

Quelles sont les raisons qui poussent les jeunes à se droguer ?

Quelles sont les causes de la drogue chez les jeunes ? – L’adolescence est une période de vulnérabilité. “Il est toujours difficile de savoir pourquoi un individu expérimente la consommation de tel ou tel produit” , explique le Dr. Hervé Martini. Il n’y a pas une explication unique à cette expérimentation mais parfois plusieurs qui s’additionnent ou se succèdent : 

  • Rechercher des effets pour s’amuser ou se détendre, se sentir bien avec les autres notamment au cours de soirées.
  • Vivre une expérience différente  : l’ado est à la recherche de sensation nouvelle, plus forte et aller au-delà de ce qu’il peut ressentir habituellement.
  • Pour faire face à une situation difficile : la prise de produit est considérée comme la seule solution pour gérer ses émotions, ses souffrances. L’anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l’origine de ces usages.
  • Appartenir à un groupe  : le souci de reconnaissance ou d’appartenance à un groupe est très important chez les ados. L’acceptation passe par la prise du produit “faire comme tout le monde”.
  • Améliorer ses performances  : la pression sociale autour de la réussite est parfois difficilement gérable pour les ados. Prendre un produit comme un dopant ou atténuer les effets du stress sont parfois retrouvés chez les plus jeunes.

Exemple de l’alcool : selon le rapport réalisé par Santé Publique France, la consommation d’alcool “est fortement associée à la fête. Les trois quarts des consommateurs âgés de 18 à 25 ans, en France en 2017, ont ainsi déclaré avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois pour que les fêtes soient mieux réussies. Le goût restait la principale motivation évoquée pour boire (92,2 %).

Pourquoi les jeunes doivent éviter de la drogue ?

Quels symptômes et quelles conséquences ? – Les usages et les conséquences de la consommation de drogue varient considérablement d’un sujet à l’autre. Il y a des usages plus problématiques que d’autres, mais personne ne peut jamais prédire comment ils vont évoluer dans le temps.

On peut différencier deux catégories de symptômes : – Ceux qui accompagnent le malaise d’un adolescent, quelle que soit son origine – Ceux qui sont consécutifs à la prise d’un ou de plusieurs produits, qui vont dépendre de la nature même des produits consommés et de leurs éventuelles associations.

Nous avons situé précédemment comment pouvait se manifester le malaise adolescent de manière générale. Les tableaux peuvent être très divers, et d’intensité variable, jusqu’à être d’une sévérité manifeste (scarifications, déscolarisation, tentatives de suicide, comportements à risque, violence, troubles du comportement alimentaire, actes de délinquance.

  • Notons que parfois, l’adolescent se réfugie dans un retrait silencieux, ce qui pourrait faire croire, en l’absence d’expression plus bruyante, que tout va bien, d’où l’importance pour l’entourage de rester vigilant;

Les produits psychoactifs peuvent avoir trois types d’effets qui peuvent varier selon les sensibilités individuelles, les quantités, les associations: – Sédatifs (alcool, tabac, cannabis, opiacés, GHB (= « drogue du viol »), médicaments psychotropes) – Excitants (alcool, tabac, cannabis, cocaïne et crack, ecstasy) – Hallucinatoires (cannabis, LSD, alcool, champignons hallucinogènes) Les trois produits les plus consommés par les adolescents, au potentiel addictogène, sont : le tabac, l’alcool, le cannabis.

Le rôle des pairs ou des personnes les plus proches de l’adolescent dans l’offre des premières prises apparaît déterminant dans le fait de les accepter. L’importance de faire comme les autres afin d’être intégré est souvent décisive ; il est très difficile de dire non au groupe ou au meilleur ami, lorsque l’on est vulnérable et en demande de l’estime des pairs.

Le tabac engendre des effets psychoactifs peu marqués, souvent de nature anxiolytique ou excitante, il n’engendre pas de troubles du comportement (si ce n’est peut-être à visée transgressive, comme celui de vouloir fumer dans un endroit interdit). En revanche, c’est un produit connu pour son haut potentiel addictogène , engendrant un phénomène de dépendance parfois rapide, d’autant plus sévère que le début du tabac a été précoce dans la vie (moins de 15 ans) et pour sa très haute toxicité à plus ou moins long terme.

Les raisons qui mènent un adolescent aux premières consommations du tabac puis à un usage régulier sont essentiellement liées au phénomène d’identification à l’adulte qui s’assume, ainsi qu’à l’effet rassurant et donnant contenance de la cigarette dans les rapports sociaux, auxquels s’ajoute un phénomène de dépendance parfois assez précocement.

La dangerosité du tabac est essentiellement due à sa haute toxicité pour les voies respiratoires et l’appareil cardio-vasculaire ainsi que son haut potentiel cancérigène lorsqu’il est consommé sur un long terme. On rappellera qu’il n’y a pas de dose seuil en dessous de laquelle le tabac ne serait pas potentiellement dangereux.

L’alcool est prisé des adolescents, notamment sous la forme de prémix (mélange d’alcool fort et de sodas ou jus de fruits) ou d’alcopops (mélanges d’alcool parfois aromatisé), ou encore de bière, de champagnes (notamment chez les filles), et d’alcools forts.

La pression des pairs, voire de la famille, est souvent retrouvée comme motivant les premières consommations. Depuis ces dernières années, on observe un phénomène venant du monde anglo-saxon appelé « binge drinking », traduit en français par « biture express », le principe étant de boire le plus d’alcool en moins de temps possible (the more the better), afin d’obtenir un état proche de la « défonce ».

Ce phénomène très inquiétant semble se développer activement chez les jeunes en France aujourd’hui. Ce qui est recherché le plus souvent, c’est l’ivresse, expliquant les quantités importantes ingérées, souvent en groupe, accompagnant de manière quasi-systématique les rencontres conviviales et les fêtes.

Les effets seront généralement proportionnels aux doses absorbées. En effet, l’alcool est désinhibant et excitant (jusqu’à l’agitation) dans les premiers temps de son ingestion. Il peut ensuite engendrer une somnolence parfois importante, jusqu’au coma en cas d’absorption massive.

Dans l’intervalle il entraîne des troubles de la concentration et de la coordination, une réponse lente aux stimuli, des troubles visuels, des difficultés à mettre en place un mode de raisonnement normal, de la violence ou de l’agressivité.

La prise d’alcool perturbe la mémoire et les apprentissages (effets plus marqués chez les adolescents que chez les adultes). Sur le plan somatique, l’ivresse peut s’associer à des troubles digestifs avec nausées et vomissements, des troubles métaboliques, avec hypoglycémie ou hypothermie.

  • Les dangers de l’alcool sont nombreux : – L’alcool est un produit hautement neuro-toxique et très addictogène (il engendre ainsi des dépendances, d’autant plus sévères, que les débuts de la consommation sont précoces);

– Lors d’un épisode d’ivresse , les risques sont : perte du contrôle de soi, vulnérabilité par rapport à d’éventuelles manipulations de personnes malveillantes, prises de risque de nature sexuelle, violence, accident, traumatisme, étouffement, coma, mort.

– Ces dangers sont accrus par le fait de consommer d’autres produits psychoactifs dans le même temps, ce qui est fréquemment retrouvé (cannabis par exemple). – Au long cours , son usage régulier peut engendrer un retrait progressif des apprentissages et des actes nécessitant de la rigueur et de la méthode ( dommages neuro-cognitifs ).

Il favorise la désinsertion sociale et scolaire. Il peut provoquer l’apparition de troubles de nature psychiatrique. – Sur le plan somatique, ce produit est toxique pour le foie, le pancréas et pour l’ensemble du système nerveux ; il a aussi un potentiel hautement cancérigène (cancers des voies aéro-digestives supérieures : bouche, langue, pharynx, œsophage.

  1. Le cannabis ou chanvre indien est le produit illicite le plus consommé en France;
  2. Il s’agit d’une plante, dont le principe actif est le Tetrahydrocannabinol (THC), inscrit sur la liste des stupéfiants;
  3. Il peut être consommé sous plusieurs formes : – L’herbe (marijuana, beuh;

) : préparée avec les feuilles, les tiges, les sommités fleuries, qui sont séchées et coupées ou écrasées. Elle se fume en général mélangée à du tabac, roulée dans du papier à cigarette, souvent de forme conique (pétard, joint). – La résine (haschisch, shit.

) : est obtenue en mélangeant les sommités fleuries compactées avec d’autres ingrédients divers qui sont extérieurs à la plante, formant une matière compacte qui se présente sous la forme de barrettes vertes, brunes ou jaunes, vendue sous cette forme.

Elle se fume en coupant des petits morceaux mélangés à du tabac, roulés dans du papier à cigarette (le joint, ou oinj). – Beaucoup plus rarement, l’huile, très concentrée en THC, qui s’absorbe mélangée à une denrée alimentaire (space cake) ou bien fumée mélangée à du tabac dans une pipe.

Quelle que soit la forme, le cannabis vendu sur le marché peut être coupé avec des substances plus ou moins toxiques (paraffine, sable, verre pilé, cirage. ) sans possibilité pour le consommateur d’en vérifier précisément le contenu.

Il est fumé, en général, à plusieurs, se partage et provoque un phénomène d’émulation et de bien-être collectif (certains parlent d’usage « festif »). Avec le temps, la consommation peut devenir solitaire, comme pour répondre à un besoin personnel, et non plus à une volonté de passer un bon moment avec les autres.

  • Les effets du cannabis au moment de la prise : Appartenant à la classe des hallucinatoires, le cannabis n’engendre pas systématiquement ce type d’effets;
  • En général, mais de manière variée, selon la concentration en THC, la quantité absorbée, la sensibilité individuelle, la consommation avec d’autres produits, il apporte un sentiment de sédation, d’apaisement, de détachement, une légère euphorie, un bien-être, parfois une hypersensitivité (meilleure perception des sons par exemple);

Parfois, il provoque des phénomènes hallucinatoires, occasionnellement très désagréables, angoissants ou violents. Sous l’emprise du produit, la mémoire immédiate est altérée, la concentration est diminuée, l’apprentissage et la mémorisation sont difficiles.

  • Parfois peuvent survenir un malaise, des vomissements, une confusion, des tremblements, une crise d’angoisse, une agitation, une profonde somnolence, le sentiment d’être agressé;
  • Sur le plan somatique, il peut accélérer le rythme cardiaque, donner les yeux rouges du fait d’un phénomène de vasodilatation périphérique, donner la bouche sèche, donner des fringales, sans que ces effets soient systématiquement retrouvés;

Les effets d’une consommation régulière de cannabis : A terme, selon la quantité absorbée et la sensibilité individuelle, le cannabis engendre des effets qui s’installent durablement : difficultés de concentration, difficultés d’apprentissage, altération globale des capacités cognitives, détachement, inactivité liée au ralentissement et à la sédation, parfois révélation aiguë d’une pathologie psychiatrique sous-jacente ou majoration de troubles psychiques (angoisses, dépression, phobies.

) Les dangers encourus : – Lors de la prise : Perte de contrôle de soi (exposition à des prises de risques), ralentissement des réactions et de la coordination (risque d’accidents de la route. ), mauvaise réaction avec malaise et vomissements, épisode hallucinatoire qui provoque des réactions violentes.

– Au long cours : perte des apprentissages, déscolarisation, dépendance moins pharmacologique que psychique, usage devenant indispensable en tant que soutien dans la vie sociale (désir d’apaisement et de détachement vis-à-vis du réel), mise à jour d’une vulnérabilité psychiatrique, désinvestissement général.

  • Les risques somatiques respiratoires et cardio-vasculaires liés au fait de fumer doivent être pris en compte sur le long terme (une cigarette de cannabis produit en moyenne 5 fois plus de monoxyde carbone inhalé qu’une cigarette de tabac);

Le risque pénal s’ajoute aux précédents, même si l’on observe une certaine tolérance dans quelques régions géographiques pour des petites doses retrouvées chez des consommateurs, avec pour sanction parfois, un simple rappel à la loi. Le risque pénal en revanche n’est pas aléatoire lorsqu’il y a pratiques de deal et/ou culture de la plante.

Quel est l’impact de la drogue dans la jeunesse et la société ?

Parmi les conséquences néfastes qu’entraînent l’usage et l’abus des drogues chez les jeunes, on peut citer la dépendance, les surdoses, les accidents, les dommages physiques et psychologiques et, parfois, un décès prématuré.

Quelles sont les causes et les conséquences de la drogue en milieu scolaire ?

La question de la consommation des drogues et autres stupéfiants au sein des établissements reste d’actualité. Les chefs d’établissements, les enseignants et beaucoup d’élèves tirent la sonnette d’alarme pour mettre fin à cette pratique qui souvent, engendre les vives violences et entrainent des dégâts, sans oublier qu’ils participent à l’échec scolaire.

L’école est par excellence ce lieu où le savoir et la connaissance se côtoient au quotidien. Enseignants et apprenants restent les acteurs privilégiés de cet environnement élitiste. Bien dommage de constater que ce lieu est devenu un espace de violence dû parfois aux consommations des stupéfiants appelés généralement « kobolo ».

D’après les observations et témoignages recueillis, ces produits ont des effets néfastes sur leurs consommateurs. « Il y avait une jeune fille qui avait dit avoir pris les kobolo sans le savoir. Après la prise, elle avait senti sa tête tournée et elle devenait très agitée, très violente » témoigne Lyska, une élève de Seconde au Lycée de S.

  1. Une  drogue  est un composé chimique , biochimique ou naturel, capable d’altérer une ou plusieurs activités neuronales et/ou de perturber les communications neuronales;
  2. La consommation de drogues par l’homme – afin de modifier ses fonctions physiologiques ou psychiques, ses réactions physiologiques et ses états de conscience – n’est pas récente;

Certaines drogues peuvent engendrer une dépendance physique ou psychologique. L’usage de celles-ci peut avoir pour conséquences des perturbations physiques ou mentales. Pour désigner les substances ayant un effet sur le système nerveux , il est plus généralement question de psychotrope.

Par cette définition chaque élève doit comprendre comment ces choses sont nocifs pour leur développement. Les causes de la prise de drogue en milieu scolaire sont nombreuses : le suivisme, la pression du groupe, les frustrations de la vie, les troubles de l’humeurs, le manque de confiance en soi, le manque d’estime de soi.

La drogue étant un frein à la réussite l’académie FOTSOMOBILE organise une campagne de sensibilisation et prévention auprès des apprenants. Avoir les conséquences en tète peut dissuader un élève à adopter cette attitude. Savoir dire dire non peut protéger un élève de la mauvaise influence de certains camarades nocifs.