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Comment Cuire Les Légumes Pour Garder Les Vitamines?

Limiter le stockage et le trempage – Avant même de cuire les légumes, il faut limiter la déperdition des vitamines lors du stockage. Celui-ci peut faire perdre jusqu’à 50 % de la teneur en vitamine C. C’est le cas de la pomme de terre après 3 mois de stockage.

  • Le trempage peut également faire perdre des micronutriments. Vitamine C et vitamine B sont en partie dissoutes dans l’eau de trempage. Un simple rinçage à l’eau courante et de faible pression suffit.
  • A la vapeur : la meilleure façon de cuire les légumes

La chaleur détruit les vitamines fragiles de façon proportionnelle au temps de cuisson et à l’élévation de la température. La cuisson rapide à la vapeur, dans un panier-vapeur (pour éviter la dissolution des minéraux dans l’eau) est la meilleure méthode pour garder les qualités nutritionnelles des légumes. C’est également le mode de cuisson qui protège le mieux la saveur exacte des aliments.

Quel mode de cuisson pour préserver au max les vitamines ?

Comment Cuire Les Légumes Pour Garder Les Vitamines Tous les modes de cuisson dissipent une partie des vitamines des légumes. Aussi, faut-il ruser pour préserver au mieux les qualités nutritionnelles des aliments. La première source de dégradation des vitamines, c’est l’air et l’ oxydation des aliments. Dès qu’on a pelé fruits et légumes , les précieuses vitamines, en particulier la vitamine C , se dissipent.

  • Une astuce : coupez-les en gros morceaux;
  • Plus les légumes sont émincés finement, plus le contact avec l’air et l’oxygène détruit les vitamines;
  • Arrosez les morceaux d’un trait de jus de citron afin de freiner l’oxydation;

Cuisson vapeur, la plus protectrice La cuisson vapeur est celle qui protège le mieux les vitamines et minéraux , car elle est relativement courte et elle évite le contact direct avec l’eau. Sous pression (dans une cocotte minute ), la durée de la cuisson est raccourcie, mais la perte de vitamines augmente.

  • Préférez donc les paniers vapeur;
  • C’est une cuisson un peu fade de prime abord, car il n’y a  pas d’ajout de matière grasse, pas de brunissement des sucs (la fameuse réaction de Maillard)… Mais, les légumes se parfument délicatement avec l’ajout d’ épices et d’aromates directement dans l’eau bouillonnante;

Cuisson à l’eau  : ne pas jeter le bouillon La cuisson à l’eau ou « blanchiment » des légumes en gros morceaux permet de limiter le contact direct avec l’air, et donc l’oxydation. Le problème, c’est que les micro nutriments migrent dans l’eau de cuisson ou sont partiellement détruits par la chaleur.

  • Avec les vitamines, les saveurs et les sucs passent également dans l’eau;
  • Soyez malin et gourmet : consommer le bouillon, ou réutiliser le pour des soupes, des sauces, etc… Mais ne rêvez pas non plus;
  • A chaque nouvelle cuisson, la température détruit son lot de vitamines ! Légumes sautés : le plus vite sera le mieux Quand on fait « sauter » les légumes, la température élevée de la poêle, le contact direct avec la surface de chaleur sont très destructeurs de vitamines;

Dans ce cas, misez sur la vitesse. Au wok , les légumes sont « saisis » à très haute température. Ils restent croquants et préservés à coeur. Soyez parcimonieux sur la quantité de gras, mélangez constamment pour saisir le produit de toutes parts, et servez aussitôt.

Au total, cette cuisson reste assez saine. A l’étouffée, une cuisson douce et lente Une casserole remplie au trois-quart avec des légumes émincés et un filet d’eau, couverte et à feu doux. C’est la cuisson à l’étouffée parfaite.

Les légumes cuisent dans leur propre eau. On limite la perte des nutriments. Privilégiez les légumes qui cuisent rapidement ( champignons , courgettes, tomates …) pour que la cuisson soit la plus brève possible. Cuisson au four et papillotte La cuisson au four, longue et à haute température, est l’ennemie jurée des micro nutriments (vitamines et minéraux).

Les aliments, exposés à l’air libre et à la chaleur, perdent au moins 50 % de leur teneur en vitamines. Un poulet rôti, avec son gratin de légumes au four, affiche un piètre bilan nutritionnel…
 Une alternative : la cuisson en papillotte à température douce.

Les aliments cuisent dans leur jus et l’évaporation des nutriments est limitée. La basse température, peu agressive Savez-vous que vous pouvez cuire un gratin de pommes de terre en basse température ? En règle générale, la basse température (moins de 65 °C) permet d’éviter le choc thermique fatal aux nutriments.

En aspergeant avant cuisson les légumes d’un peu de jus de citron , on limite leur oxydation qui est accrue par le temps d’exposition à l’air. Aurélie Laroche Photo : Bialasiewicz – Banque d’images 123rf.

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Quelle vitamine est détruite par la cuisson ?

Les vitamines et minéraux : différentes sensibilités à la chaleur – Lors de la cuisson, les aliments sont soumis à une température qui leur fait perdre de l’eau, des vitamines et des minéraux. Ainsi, la dégradation de la teneur en vitamines est étroitement liée au temps et à la température de cuisson.

Nutriment Commentaire °C de dégradation
Vitamine A Elle a la capacité de rester stable même après cuisson, sa perte maximale s’élevant généralement à 15%. Toutefois, elle commence à se détruire au-delà de 110°C. 110°C
Vitamine B Les vitamines B1 et B9 sont aussi sensibles. Au-delà de 90°C, de nombreuses vitamines B sont détruites. À partir de 120°C, elles sont toutes détruites. 90°C
Vitamine C Sensible à l’eau, l’air, la chaleur et la lumière, elle est la plus sensible des vitamines. Au-delà de 60°C, la vitamine C est détruite. 60°C
Vitamine D Au-delà de 110°C, la vitamine D est détruite. 110°C
Vitamine E Au-delà de 90°C, une majorité de vitamine E est détruite. À partir de 120°C, elles sont toutes détruites. La vitamine E est aussi sensible à la congélation. 90°C
Vitamine K Une étude nous informe que la vitamine K n’est pas très sensible à la chaleur, elle est donc majoritairement conservée après la cuisson. Pas d’information
Sels minéraux Au-delà de 100°C, de nombreux sels minéraux ne sont plus assimilables par l’organisme. 100°C

Comme nous le disions pour les aliments crus, laisser les aliments entiers ou en gros morceaux et si possible avec leur peau permet de conserver au mieux leurs nutriments. Le principe consiste en réalité à r éduire l’exposition de la surface à l’air, pour empêcher l’oxydation et donc la dégradation de micronutriments. Il en va de même pour la cuisson ! Ensuite, l’idée générale à retenir est le principe selon lequel les effets positifs des vitamines et minéraux s’estompent à mesure que la température et le temps de cuisson augmentent.

D’ailleurs, c haque vitamine possède son propre seuil de tolérance et des facteurs de sensibilités qui lui sont propres, au-delà desquels elle est détruite. Évidemment, il convient d’ adapter ces conseils à la situation et à votre volonté.

Par exemple, si vous désirez cuire une pomme de terre mais que celle-ci est particulièrement grosse, il sera préférable de la couper en deux plutôt que de doubler le temps de cuisson. Si votre recette demande une purée de légumes, inutile de les cuire au wok.

Comment faire cuire les légumes ?

Quel légume cuire en premier ?

Quelle est la meilleure façon de cuire les légumes ?

Limiter le stockage et le trempage – Avant même de cuire les légumes, il faut limiter la déperdition des vitamines lors du stockage. Celui-ci peut faire perdre jusqu’à 50 % de la teneur en vitamine C. C’est le cas de la pomme de terre après 3 mois de stockage.

  • Le trempage peut également faire perdre des micronutriments. Vitamine C et vitamine B sont en partie dissoutes dans l’eau de trempage. Un simple rinçage à l’eau courante et de faible pression suffit.
  • A la vapeur : la meilleure façon de cuire les légumes

La chaleur détruit les vitamines fragiles de façon proportionnelle au temps de cuisson et à l’élévation de la température. La cuisson rapide à la vapeur, dans un panier-vapeur (pour éviter la dissolution des minéraux dans l’eau) est la meilleure méthode pour garder les qualités nutritionnelles des légumes. C’est également le mode de cuisson qui protège le mieux la saveur exacte des aliments.

Qu’est-ce qui détruit les vitamines ?

Contrairement aux idées reçues, la cuisson n’a pas que des effets délétères. Si elle altère certaines molécules, elle en rend d’autres plus adaptées à notre consommation. Contrairement aux idées reçues, la cuisson n’a pas que des effets délétères. Si elle altère certaines molécules, elle en rend d’autres plus adaptées à notre consommation.

C’est le cas des fibres : la cuisson a pour effet de les rendre moins irritantes. Cependant la chaleur favorise aussi la libération de certaines vitamines et minéraux qui seront alors plus biodisponibles et mieux assimilables par l’organisme.

C’est le cas de la pro-vitamine A (bêta-carotène) que l’on trouve principalement dans la carotte ou la tomate. Ainsi, mieux vaut les manger cuites en y ajoutant un peu d’huile pour mieux solubiliser la pro-vitamine A (vitamine liposoluble) qui devient alors plus facilement assimilable par l’organisme.

Par contre, la chaleur détruit les vitamines fragiles de façon proportionnelle au temps de cuisson et à l’élévation de la température. Plus la cuisson est longue et à l’air libre (en contact avec l’oxygène) plus la détérioration sera importante.

C’est le cas de la vitamine C , de loin la plus fragile des vitamines. Les vitamines B1 et B9 sont elles aussi sensibles.

Quel est le meilleur mode de cuisson ?

Quelle cuisson pour quels aliments ? – 1 – Cru Pour commencer, rappelons que la meilleure façon de consommer les légumes est, tout simplement, de ne pas les chauffer, de les manger cru ! Car c’est le meilleur moyen pour que toutes les vitamines, les oligo-éléments, et les antioxydants soient préservés.

Mais en mangeant cru. naturellement se pose alors le problème des pesticides et de la sécurité sanitaire. Il faut savoir que beaucoup de pesticides ne sont pas hydrosolubles, c’est-à-dire, qu’ils ne partent pas à l’ eau.

Pour enlever le résidu de pesticide sur un fruit ou un légume, il faut le laver avec de l’eau savonneuse, pas mousseuse, mais avec un tout petit peu de savon, car les pesticides sont généralement liposolubles, et le savon contient du gras. Ensuite, il suffit de rincer à l’eau pour enlever le goût du savon.

  1. Sinon il existe toujours la solution d’éplucher ses fruits et légumes ! Une autre alternative est de manger bio ou des produits en provenance d’une agriculture raisonnée (avec un minimum de pesticides);

2 – La cuisson à la vapeur Mais venons-en au vif du sujet : la cuisson. Selon le Dr Laurence Plumey, médecin nutritionniste, le meilleur mode de cuisson est incontestablement la cuisson à la vapeur, car elle préserve au mieux les vitamines, les minéraux et les oligo-éléments.

  1. Ceux-ci restent dans l’aliment et y sont protégés;
  2. De plus, le respect d’un temps de cuisson maîtrisé permet souvent des cuissons, dites al dente, qui limitent les pertes vitaminiques;
  3. Ainsi, avec la cuisson vapeur, il peut n’y avoir que 15 à 20% de pertes vitaminiques là où il y en aura deux fois plus avec une cuisson plus agressive;

3 – La cuisson à la poêle ou au four Pour ce qui est de la cuisson au four ou à la poêle, elles s’équivalent, en termes de chaleur. Cependant, le Dr Laurence Plumey insiste sur quelques conseils essentiels : À voir aussi Ne pas utiliser n’importe quelle huile pour la cuisson ; l’huile d’olive et l’huile de tournesol supportent très bien les températures élevées (plus de 180° C) ; en revanche, l’huile de colza et de noix riches en oméga 3 fragiles, ne se cuisent pas ! Quant à la cuisson au beurre, attention ; au-delà de 140°C, il noircit et donne naissance à des composants irritants pour la muqueuse gastrique ; en mélangeant beurre et huile, nous n’avons pas ce phénomène. Et quant à la crème, elle tourne très vite et doit être ajoutée seulement en fin de cuisson. Les fritures donnent des produits évidemment gras (en proportion de la surface exposée : frites à 15% de MG et chips à 30% de MG) et appauvris en vitamines. 4 – La cuisson au barbecue, au grill, sur des flammes La cuisson au barbecue est une cuisson qui, quand elle expose l’aliment à la flamme, provoque l’apparition de parties carbonisées constituées d’hydrocarbures polycycliques et d’amines aromatiques, c’est-à-dire, les mêmes éléments que l’on peut retrouver dans le tabac et qui sont cancérigènes, indique le Pr David Khayat, cancérologue.

Donc, attention à ne pas mettre la viande, le poisson ou les végétaux au contact des flammes. Il faut cuire à braises descendantes, une fois que les flammes se sont éteintes d’elles-mêmes et que le brasero décline.

Si malgré tout, des parties de viandes ou de poissons ont été carbonisées, ne les mangez pas. 5 – La cuisson au wok > L’avis du Pr David Khayat, cancérologue : La cuisson au wok peut être bénéfique, comme elle peut s’avérer mauvaise, car on fait souvent cuire ces aliments pendant trop longtemps, à trop haute température.

  1. Aujourd’hui, quand on cuisine au wok, on travaille sur un grand feu qui diffuse une température très élevée;
  2. De plus, on fait cuire nos aliments pendant 10 à 15 minutes dans le wok, et on va même jusqu’à faire cuire le riz dedans;

Il faut aussi savoir qu’à l’origine, les agriculteurs qui l’utilisaient, vivaient dans des habitats mal isolés, donc l’air circulait et la fumée pouvait s‘échapper. Aujourd’hui, quand vous faites ça dans votre appartement, tout est isolé. Donc tous les hydrocarbures polycycliques qui vont être produits, seront respirés.

Quand vous cuisinez avec une poêle plate, que vous mettez de la matière grasse, puis vos aliments, tout cela a été étudié dans un laboratoire et certifié avec huissier, la température monte aux alentours de 150 degrés C.

Alors que quand vous faites la même opération dans un wok la température va monter à 350 degrés C. La différence est, qu’arrivé à cette température, toute matière grasse, quelle qu’elle soit, va dépasser, ce qu’on appelle, le point de fumée. A partir de cette température, la matière grasse va devenir mousseuse, noirâtre et de la fumée noire s’échappera de cette huile – les molécules formées sont irritantes et potentiellement cancérigènes lorsque ce type de cuisson est répété et régulier.

> L’avis du Dr. Laurence Plumey, nutritionniste : Pour le wok : la chaleur est intense et surtout très élevée dans le fond du wok, mais elle est brève ; c’est pourquoi les pertes vitaminiques ne sont pas très importantes.

Il peut toutefois se développer une réaction de caramélisation entre les protéines et les glucides des différents végétaux mélangés ; mais ce n’est pas bien grave. En conclusion, le tout est de varier les modes de cuissons. Si vous aimez, vous avez quand même le droit de faire vos aliments au barbecue, au wok, mais ne faites pas tout le temps ou trop souvent la même chose.

Comment faire une soupe sans perdre les vitamines ?

Quelques conseils pour optimiser ses soupes – En cuisant ses légumes à l’eau >>>

  1. Pour enlever les résidus de terre ou pesticides, passez vos légumes brièvement sous l’eau glacée sans les laisser tremper.
  2. Ne couper pas vos légumes trop longtemps à l’avance, ils s’oxyderaient pour rien.
  3. Si vous devez les éplucher, ne le  faites pas trop “profondément”. Vous pouvez aussi choisir de cuire certains légumes avec la peau et de la retirer après cuisson (ou de la laisser, selon les goûts).
  4. Coupez grossièrement vos légumes, évitez les petits morceaux. Il y aura ainsi moins de contact-surface avec votre eau, et votre légume sera alors mieux préservé.
  5. Faites revenir vos légumes à la casserole dans un peu de beurre ou huile végétale (ajoutez ail, échalote, épices à ce moment-là, pour ceux qui veulent une soupe plus goûtue).
  6. Versez de l’eau déjà bouillante sur vos légumes ! Vous limiterez ainsi le temps de cuisson et donc la perte de vitamines !
  7. N’attendez pas que vos légumes se détruisent dans l’eau et partent en charpie.
  8. Passez vos légumes immédiatement sous l’eau froide.
  9. Moulinez le plus rapidement possible.
  10. Gardez l’eau de cuisson (le plus important !) pour diluer et enrichir votre potage.
  11. Ne salez pas exagérément !

La soupe reste une des préparations les plus riches nutritivement parlant, car elle se compose de plusieurs légumes. Si ses vitamines et certains minéraux prennent cher à la cuisson, les fibres et les anti-oxydants, eux, restent d’aplomb et aident à la digestion. Elle hydrate énormément, et procure une sensation de satiété. Accompagné de pain, de pâtes, de céréales, elle devient un repas à part entière.

Pourquoi cuire les légumes à la vapeur ?

La cuisson à la vapeur douce préserve les aliments – Comment Cuire Les Légumes Pour Garder Les Vitamines La cuisson vapeur se fait grâce à un environnement chaud et humide qui cuit les aliments. La cuisson à la vapeur est une cuisson lente qui n’agresse pas les aliments en les surchauffant. Ainsi respectés, les aliments conservent leurs nutriments, vitamines, sels minéraux, oligo-éléments… Les légumes gardent leur couleur, leur goût naturel, leur texture et leurs nutriments.

C’est donc un mode de cuisson anti-carence. C’est également une cuisson diététique et légère : il n’est pas nécessaire d’y ajouter de matière grasse (beurre, huile…). La graisse des viandes est dissoute, celles-ci restent moelleuses, de même que les poissons.

Toute cuisson à la vapeur aux infrarouges est facile à digérer, n’endort pas, ne ballonne pas. Elle régularise votre transit intestinal, ouvre l’appétit, facilite et égaie les régimes sans sel ou sans graisse ! Légère, saine, savoureuse : la cuisson vapeur est celle qu’il faut pour prendre soin de son corps & de sa santé.

Comment cuisiner les légumes sainement ?

Pour ne pas perdre de temps en cuisine : cuisiner malin –

  • N’oubliez pas de préchauffer le four, 5 min avant d’avoir terminé votre préparation. Si vous le faites au tout début et que vous passez 30 min à préparer le plat avant de l’enfourner, vous gaspillerez de l’énergie électrique. Et si vous le faites après avoir fini de tout préparer, vous devrez encore patienter 5 min avant d’enfourner votre plat.
  • Mettez votre eau à bouillir, ou votre poêle à chauffer pendant que vous préparez les ingrédients.
  • Faites sauter vos légumes avant d’y ajouter la sauce, le court-bouillon ou l’eau et de le faire mijoter. Par exemple, les carottes et les haricots verts cuisent plus vite si je les fais d’abord sauter dans un peu d’huile, avant de faire ma sauce et de les faire cuire avec par la suite. Puis j’incorpore de la viande hachée et le tour est joué.
  • Faites un grand bocal de vinaigrette ou de sauce que vous garderez au réfrigérateur. Cela vous évitera d’en faire à chaque fois que vous en aurez besoin et vous pouvez même l’agrémenter d’herbes fraîches ou d’autres condiments dans votre assiette. Ceci afin de varier les goûts.
  • Préparez vos marinades la veille. Ainsi, elles auront eu le temps de bien imprégner ou d’attendrir la viande. De plus, le lendemain, vous n’aurez plus que la partie cuisson à faire.
  • Si vous consommez souvent des œufs durs ou que vous en utilisez dans vos plats, faites cuire une grande quantité que vous stockerez. Ils se conservent très bien au frigo, mais ne les gardez pas trop longtemps non plus.
  • Si vous utilisez souvent de l’ail dans votre cuisine, vous pouvez en éplucher une poignée que vous garderez au réfrigérateur. Car cela peut être décourageant d’avoir à en éplucher à chaque fois, et en plus comme ce sont de petites gousses… Toutefois, veillez à les mettre dans un bocal bien fermé pour que son odeur ne s’imprègne pas dans les autres aliments.
  • Lorsque vous préparez votre repas du jour, pensez donc à faire cuire aussi les ingrédients dont vous aurez besoin le lendemain ou dans les jours qui suivent. Par exemple, je vais braiser mes morceaux de viande à l’avance si je prévois de faire un ragoût ou une soupe plus tard. Autre exemple, je fais mijoter mes haricots blancs en sauce pour le lendemain, pendant que je prépare mon déjeuner du jour.
  • S’il vous arrive de travailler à la maison, profitez-en pour cuisiner le genre de plat qui doit mijoter pendant des heures. Vous aurez juste à le surveiller de temps en temps.
  • Cuisinez en grande quantité. Vous ferez ensuite des portions que vous décongèlerez rapidement quand vous en aurez besoin. C’est mon astuce préférée, car il faut juste quelques minutes pour réchauffer et pouvoir déguster un vrai plat (qui a mijoté des heures). Quel bonheur ! De plus, il existe des plats qui sont encore meilleurs lorsqu’ils sont réchauffés.
    • Bien sûr, au début, on n’y pense pas tout le temps, mais avec l’habitude, ça vient tout seul;
    • Une petite astuce, si vous avez oublié le temps de préchauffage : démarrez votre four et profitez-en pour commencer à nettoyer votre table de travail ou vos ustensiles;

    Comme le bœuf bourguignon, le lapin à la moutarde, le hachis parmentier, le cassoulet, … Mais n’attendez pas des semaines non plus, car le plat risque de perdre en saveur et en qualités nutritionnelles.

  • Sinon, vous pouvez aussi cuisiner des pâtes ou du riz pour 2 ou 3 jours. Vous les accompagnerez chaque jour selon vos envies.
  • Cuisiner en grande quantité permet aussi d’avoir des repas sur 2 ou 3 jours. Ce n’est pas monotone si vous mangez autre chose au dîner. Et bien sûr les petits-déjeuners, collations, encas, … sont aussi différents. En plus, vous n’êtes pas obligée de procéder ainsi à chaque fois. Mais cela peut être utile lorsque vous êtes, par exemple, dans une période où vous devez travailler plus que d’habitude.
  • Vous pouvez également déjà préparer des légumes et les garder, dans une boite hermétique, quelques jours au frigo. Comme par exemple laver et peler des carottes, … Mais, personnellement, je n’adhère pas, car j’ai peur que mes légumes perdent leurs vitamines. Par contre, je garde volontiers de la salade déjà lavée dans mon frigo. Je mets mes feuilles de salade dans un grand sac en plastique propre pour qu’elles tiennent moins de place.
  • Parfois, et je dis bien “parfois seulement”, cuisinez à haute température lorsque vous êtes vraiment pressé. Mais ne le faites pas tout le temps, car cela peut être mauvais pour la santé. En effet, les cuissons à basse température préservent les nutriments et rends les aliments savoureux.

Pourquoi mettre du sel dans l’eau de cuisson des légumes ?

Le principe de l’ eau salée en créant le « mur » comme expliqué précédemment, crée une barrière contre le gaz carbonique et le légume demeure bien vert, bien coloré.

Comment conserver les vitamines des fruits et légumes ?

Vous voulez garder la forme et avoir bonne mine toute la semaine ? Rien de mieux que des fruits et légumes pour vous donner du tonus… à condition de savoir les conserver pour en préserver les bienfaits ! – Première règle : choisir des fruits et des légumes de saison Stockez vos fruits ou légumes dans un endroit frais, sec et à l’abri de la lumière.

  • En effet, des légumes qui restent plus d’une semaine dans le réfrigérateur perdent plus de la moitié de leurs vitamines ! Évitez de les faire tremper, privilégiez le rinçage;
  • Conservez la peau tant que cela est possible;

Une grande partie des vitamines s’y trouve. Privilégiez les cuissons courtes avec peu d’eau : à la vapeur, en papillotes, au wok, afin que les légumes restent juste croquants et qu’ils puissent garder toutes leurs vitamines. Alternez légumes cuits et légumes crus dans vos menus.

Quels sont les légumes les plus long à cuire ?

Le type de légumes : – Vous le savez, tous les légumes ne se ressemblent pas ! Leur temps de cuisson est fortement corrélé à leur teneur en eau. Ainsi, les légumes contenant le moins d’eau (comme les pommes de terre et les carottes) mettront plus de temps à cuire que les légumes dont la chair est plus gorgée d’eau (comme la tomate ou les courgettes) !.

Quel légume pour cuire à la vapeur ?

Image: cocinaycomparte. com La cuisson à la vapeur est l’une des plus saines au monde, car les aliments conservent toutes leurs propriétés. C’est donc un des moyens les plus recommandés de préparer les légumes afin de profiter de tous leurs avantages pour l’organisme. De plus, c’est un moyen très simple et rapide à préparer les légumes que vous préférez, alors ne manquez pas cet article de toutComment sur comment faire cuire les légumes à la vapeur. Difficulté faible Ingrédients:

  • Légumes que vous voulez
  • Eau

Étapes à suivre: 1 Au moment de faire cuire les légumes à la vapeur , la première chose à faire est de préparer les légumes vous souhaitez préparer. Pour cela, vous devez les laver, les peler si nécessaire et les émincer. La plupart des légumes peuvent être cuits à la vapeur : brocoli, chou-fleur, asperges, maïs, carottes, épinards, pommes de terre. tout ce qui vient à l’esprit ! 2 L’un des moyens les plus rapides de faire cuire les légumes à la vapeur est d’utiliser un cuiseur vapeur électrique , un petit appareil électroménager qui facilite la tâche. Le fonctionnement des cuiseurs vapeur électriques peut varier en fonction de la marque et du modèle, mais tous nécessitent de remplir le réservoir d’eau et d’être monté en plaçant les aliments sur le plateau correspondant. Enfin, couvrez-le et programmez le temps nécessaire selon le type d’aliment. Image: spanish. xjelectric. com 3 Un autre bon choix pour faire cuire les légumes vapeur est d’utiliser les cuiseurs vapeur traditionnels. Cette méthode de cuisson à la vapeur nécessite la même procédure que les cuiseurs vapeur électriques. Vous devrez donc mettre un peu d’eau dans la marmite inférieure sans qu’elle touche la passoire, mettre la partie supérieure, placer les légumes dans la passoire et le couvercle. Image: vida-sana. es 4 Si vous voulez faire cuire les légumes cuits à la vapeur avec cuiseur vapeur en bambou , vous devez aussi avoir une casserole où le mettre. Ainsi, vous ajouterez de l’eau dans la casserole et placerez le cuiseur vapeur en bambou avec les légumes par-dessus. Image: nuezmoscada. com 5 Et si vous ne possédez pas un de ces appareils pour faire cuire les légumes vapeur , il est possible de le faire sans cuiseur vapeur. Pour cela, vous aurez besoin d’une passoire assez grande pour être posée sur une marmite ou une casserole, dans laquelle vous mettrez les légumes que vous voulez préparer.

Généralement, dans le manuel de votre cuiseur vapeur électrique, se trouve un tableau des temps de cuisson des légumes. Il est important d’ajouter suffisamment d’eau, car elle s’évaporera, mais elle ne doit jamais toucher le fond du cuiseur vapeur ou mouiller les aliments à l’intérieur.

À cet effet, nous vous recommandons de consulter notre article comment cuisiner à la vapeur sans cuiseur vapeur où vous trouverez la procédure à suivre étape par étape. Image: kassidykey9. wordpress. com Si vous souhaitez lire plus d’articles semblables à Comment cuire les légumes à la vapeur , nous vous recommandons de consulter la catégorie Recettes .

Quels épices pour légumes vapeur ?

Épicez vos légumes La liste est longue : curry, paprika, curcuma, safran, girofle, origan, piments, cumin, poivre, baies de genièvre… Par exemple, un peu de curry ou de cumin ajouté à une purée de carottes transformerait presque un accompagnement en plat complet….

Comment préserver les vitamines dans les aliments ?

À quelle température faut-il stocker les fruits et légumes ? – Au réfrigérateur : Asperge, salade, légumes feuilles, rhubarbe, certains petits fruits (1 semaine). Carotte , poireau, pomme , poire (plus d’une semaine en sortant pomme et poire 1 à 2 jours avant consommation).

  • Fraise, framboise (1 ou 2 jours max);
  • À température ambiante (19-25 °C) : Une semaine max : tomate , pomme, pêche, abricot, mangue, poire non mûre, banane, fruits exotiques, agrumes, melon, courges;
  • Au frais (12-16 °C) et sec : Plus longtemps : banane, tomate, champignon, aubergine, pomme de terre (à l’obscurité);

Opter pour la vapeur. Le meilleur mode de cuisson pour préserver les nutriments. « Il affiche un rapport température/temps de cuisson qui limite la déperdition des vitamines sensibles à la chaleur, explique Véronique Liesse. Et comme l’aliment cuit dans la vapeur, il n’y a pas de dispersion dans les matières grasses ou l’eau des nutriments liposolubles et hydrosolubles.

» L’idéal : un cuiseur vapeur électrique en inox qui permet d’ajuster la cuisson. L’étouffée, la papillote, le wok et le four à micro-ondes donnent aussi de bons résultats, à condition de limiter le temps de cuisson.

Cuire directement les surgelés. « Les dégeler avant entraîne des pertes considérables en les exposant à la lumière, la chaleur et l’oxygène », précise Véronique Liesse. Déguster “al dente”. Plus la cuisson est longue, plus les pertes sont importantes.

Il est préférable de consommer les légumes croquants. Mieux vaut les cuire avec la peau et entiers ou en gros morceaux, sauf si cela nécessite de trop allonger le temps de cuisson. Utiliser le bouillon.

Faire cuire les aliments dans l’eau s’accompagnant d’une fuite des vitamines hydro- solubles et des minéraux dans le liquide, on en fait une soupe ou une sauce. Préparer les céréales et légumineuses par absorption. En ajustant la quantité d’eau à celle de céréales : 1 à 3 volumes d’eau pour 1 de céréales.

Quel est le meilleur mode de cuisson ?

Quelle cuisson pour quels aliments ? – 1 – Cru Pour commencer, rappelons que la meilleure façon de consommer les légumes est, tout simplement, de ne pas les chauffer, de les manger cru ! Car c’est le meilleur moyen pour que toutes les vitamines, les oligo-éléments, et les antioxydants soient préservés.

  • Mais en mangeant cru;
  • naturellement se pose alors le problème des pesticides et de la sécurité sanitaire;
  • Il faut savoir que beaucoup de pesticides ne sont pas hydrosolubles, c’est-à-dire, qu’ils ne partent pas à l’ eau;

Pour enlever le résidu de pesticide sur un fruit ou un légume, il faut le laver avec de l’eau savonneuse, pas mousseuse, mais avec un tout petit peu de savon, car les pesticides sont généralement liposolubles, et le savon contient du gras. Ensuite, il suffit de rincer à l’eau pour enlever le goût du savon.

Sinon il existe toujours la solution d’éplucher ses fruits et légumes ! Une autre alternative est de manger bio ou des produits en provenance d’une agriculture raisonnée (avec un minimum de pesticides).

2 – La cuisson à la vapeur Mais venons-en au vif du sujet : la cuisson. Selon le Dr Laurence Plumey, médecin nutritionniste, le meilleur mode de cuisson est incontestablement la cuisson à la vapeur, car elle préserve au mieux les vitamines, les minéraux et les oligo-éléments.

Ceux-ci restent dans l’aliment et y sont protégés. De plus, le respect d’un temps de cuisson maîtrisé permet souvent des cuissons, dites al dente, qui limitent les pertes vitaminiques. Ainsi, avec la cuisson vapeur, il peut n’y avoir que 15 à 20% de pertes vitaminiques là où il y en aura deux fois plus avec une cuisson plus agressive.

3 – La cuisson à la poêle ou au four Pour ce qui est de la cuisson au four ou à la poêle, elles s’équivalent, en termes de chaleur. Cependant, le Dr Laurence Plumey insiste sur quelques conseils essentiels : À voir aussi Ne pas utiliser n’importe quelle huile pour la cuisson ; l’huile d’olive et l’huile de tournesol supportent très bien les températures élevées (plus de 180° C) ; en revanche, l’huile de colza et de noix riches en oméga 3 fragiles, ne se cuisent pas ! Quant à la cuisson au beurre, attention ; au-delà de 140°C, il noircit et donne naissance à des composants irritants pour la muqueuse gastrique ; en mélangeant beurre et huile, nous n’avons pas ce phénomène. Et quant à la crème, elle tourne très vite et doit être ajoutée seulement en fin de cuisson. Les fritures donnent des produits évidemment gras (en proportion de la surface exposée : frites à 15% de MG et chips à 30% de MG) et appauvris en vitamines. 4 – La cuisson au barbecue, au grill, sur des flammes La cuisson au barbecue est une cuisson qui, quand elle expose l’aliment à la flamme, provoque l’apparition de parties carbonisées constituées d’hydrocarbures polycycliques et d’amines aromatiques, c’est-à-dire, les mêmes éléments que l’on peut retrouver dans le tabac et qui sont cancérigènes, indique le Pr David Khayat, cancérologue.

  • Donc, attention à ne pas mettre la viande, le poisson ou les végétaux au contact des flammes;
  • Il faut cuire à braises descendantes, une fois que les flammes se sont éteintes d’elles-mêmes et que le brasero décline;

Si malgré tout, des parties de viandes ou de poissons ont été carbonisées, ne les mangez pas. 5 – La cuisson au wok > L’avis du Pr David Khayat, cancérologue : La cuisson au wok peut être bénéfique, comme elle peut s’avérer mauvaise, car on fait souvent cuire ces aliments pendant trop longtemps, à trop haute température.

Aujourd’hui, quand on cuisine au wok, on travaille sur un grand feu qui diffuse une température très élevée. De plus, on fait cuire nos aliments pendant 10 à 15 minutes dans le wok, et on va même jusqu’à faire cuire le riz dedans.

Il faut aussi savoir qu’à l’origine, les agriculteurs qui l’utilisaient, vivaient dans des habitats mal isolés, donc l’air circulait et la fumée pouvait s‘échapper. Aujourd’hui, quand vous faites ça dans votre appartement, tout est isolé. Donc tous les hydrocarbures polycycliques qui vont être produits, seront respirés.

  • Quand vous cuisinez avec une poêle plate, que vous mettez de la matière grasse, puis vos aliments, tout cela a été étudié dans un laboratoire et certifié avec huissier, la température monte aux alentours de 150 degrés C;

Alors que quand vous faites la même opération dans un wok la température va monter à 350 degrés C. La différence est, qu’arrivé à cette température, toute matière grasse, quelle qu’elle soit, va dépasser, ce qu’on appelle, le point de fumée. A partir de cette température, la matière grasse va devenir mousseuse, noirâtre et de la fumée noire s’échappera de cette huile – les molécules formées sont irritantes et potentiellement cancérigènes lorsque ce type de cuisson est répété et régulier.

> L’avis du Dr. Laurence Plumey, nutritionniste : Pour le wok : la chaleur est intense et surtout très élevée dans le fond du wok, mais elle est brève ; c’est pourquoi les pertes vitaminiques ne sont pas très importantes.

Il peut toutefois se développer une réaction de caramélisation entre les protéines et les glucides des différents végétaux mélangés ; mais ce n’est pas bien grave. En conclusion, le tout est de varier les modes de cuissons. Si vous aimez, vous avez quand même le droit de faire vos aliments au barbecue, au wok, mais ne faites pas tout le temps ou trop souvent la même chose.

Comment faire une soupe sans perdre les vitamines ?

Quelques conseils pour optimiser ses soupes – En cuisant ses légumes à l’eau >>>

  1. Pour enlever les résidus de terre ou pesticides, passez vos légumes brièvement sous l’eau glacée sans les laisser tremper.
  2. Ne couper pas vos légumes trop longtemps à l’avance, ils s’oxyderaient pour rien.
  3. Si vous devez les éplucher, ne le  faites pas trop “profondément”. Vous pouvez aussi choisir de cuire certains légumes avec la peau et de la retirer après cuisson (ou de la laisser, selon les goûts).
  4. Coupez grossièrement vos légumes, évitez les petits morceaux. Il y aura ainsi moins de contact-surface avec votre eau, et votre légume sera alors mieux préservé.
  5. Faites revenir vos légumes à la casserole dans un peu de beurre ou huile végétale (ajoutez ail, échalote, épices à ce moment-là, pour ceux qui veulent une soupe plus goûtue).
  6. Versez de l’eau déjà bouillante sur vos légumes ! Vous limiterez ainsi le temps de cuisson et donc la perte de vitamines !
  7. N’attendez pas que vos légumes se détruisent dans l’eau et partent en charpie.
  8. Passez vos légumes immédiatement sous l’eau froide.
  9. Moulinez le plus rapidement possible.
  10. Gardez l’eau de cuisson (le plus important !) pour diluer et enrichir votre potage.
  11. Ne salez pas exagérément !

La soupe reste une des préparations les plus riches nutritivement parlant, car elle se compose de plusieurs légumes. Si ses vitamines et certains minéraux prennent cher à la cuisson, les fibres et les anti-oxydants, eux, restent d’aplomb et aident à la digestion. Elle hydrate énormément, et procure une sensation de satiété. Accompagné de pain, de pâtes, de céréales, elle devient un repas à part entière.

Comment réduire les pertes en vitamines dans l’alimentation ?

Comment les aliments perdent-ils leurs vitamines? – Les pertes en vitamines dans les aliments eux-ms sont souvent fort importantes, surtout en ce qui concerne les vitamines pour lesquelles les carences sont frentes: A, B 1 , B 2 , PP et C. Ces pertes sont provoqu * soit par la destruction des vitamines * soit par leur mination.

  • Les vitamines peuvent e duites dans nos aliments: * par l’ oxyg de l’air, * par la lumi * par la chaleur , * par les enzymes ; les enzymes des cellules sont ‘origine d’une dmposition lente mais progressive des substances organiques, comme les protes et les vitamines;

Ce phm s’appelle ” autolyse ” L’autolyse est responsable de la diminution plus ou moins importante de la valeur nutritive des aliments au fur et esure de leur conservation. Les vitamines peuvent e min de nos aliments: – Par le lavage des aliments. Les vitamines hydrosolubles sont jet avec l’eau de lavage ou l’eau de cuisson, surtout lorsque ces aliments ont coupen petits morceaux avant la cuisson.

  • – Par le blutage des farines;
  • Le blutage consiste asser la farine des cales ravers un tamis, pour en miner le son, (l’embryon et les enveloppes);
  • Les farines ainsi trait se conservent mieux, ont meilleur go sont plus faciles igr;

Ce proc mine cependant une partie importante des protes, des vitamines B 1 , B 2 , et PP, ainsi que du calcium et du fer, contenus dans les enveloppes et l’embryon. – Par le blanchiment du riz. A l’usine le riz subit un traitement mnique, qui vise lement n miner le son, mais sans mouture du grain.